Par Maamar Farah Cela me rappelle l�affaire Bergui o� j�ai �t� condamn� au dinar symbolique par un tribunal d�Alger qui consid�rait que j��tais, en tant que directeur de la r�daction, co-responsable, avec M. Bergui et le journaliste qui a �crit l�article, de tous les propos contenus dans l�article ! �Mais c�est entre guillemets� avais-je dit � la juge; �Vous �tes responsable de tout, y compris de ce qui est entre guillemets�, avait r�pondu la magistrate. Alors, je lui fis remarquer que M. Bush avait dit des choses pas plaisantes du tout sur M. Saddam et c��tait entre guillemets, dans notre journal. �Donc, si M. Saddam porte plainte, je serai responsable aussi des propos de M. Bush�. Oui, avait dit la juge� Il est vrai qu�une fois d�barrass�e de sa robe noire, la charmante juge me demande dans son bureau pour me dire que, dans l�absolu, j�avais raison mais que notre code �tait tordu ! Aujourd�hui, le code est clair. L��crit de presse est d�p�nalis� ! Mais visiblement, le juge qui a condamn� notre cons�ur d� Akher Sa�n�est pas au courant de la nouvelle... loi ! [email protected] �Les lois sont des toiles d�araign�e � travers lesquelles passent les grosses mouches et o� restent les petites.�