ORAN Premi�res pluies, premiers couacs pour le tramway Comme de tradition, malheureusement les premi�res pr�cipitations d�automne � Oran engendrent des d�sagr�ments perturbant plus que de raison la circulation et l�activit� dans la ville. Les causes et les cons�quences sont toujours les m�mes avaloirs, r�seaux et regards d��vacuation des eaux de pluies bouch�s, provoquant inondations de carrefours et boulevards, remont�es des eaux dans les caves de certains quartiers, etc. Mais cette ann�e, en prime, les premi�res pluies ont mis � mal les autorit�s locales en charge du suivi des travaux du tramway ainsi que les responsables de la soci�t� Tramnour. Et pour cause, des tron�ons de la voie du tramway, qui n�est pas encore fonctionnel� des essais techniques ont lieu depuis quelques semaines � ont �t� submerg�s par les eaux charg�es de boue. Du coup, d�aucuns se reposent la question sur la pertinence du trac� du tramway d�Oran et surtout des travaux r�alis�s � cet effet, notamment ceux touchant aux r�seaux d��vacuation des eaux de pluies le long des voies. Cette situation n�est pas faite pour rassurer les Oranais sur la conduite de ce projet qui, faute d�une v�ritable communication mais aussi en raison d�une gestion incons�quente, se conjugue uniquement avec une pl�thore de d�sagr�ments qui empoissonnent le quotidien des habitants. Certes, � la d�charge de Tramnour, la question de l�entretien des avaloirs n�est pas de son ressort, l�APC vient encore une fois de montrer ses limites et l�annonce dans l�urgence d�un programme de 14 milliards pour des op�rations de collecte des eaux de pluies prouve l��tendue de l�absence d�anticipation et de bonne gouvernance. �L�arriv�e� du tramway � Oran ne pourra la rehausser au rang de ville moderne si � c�t�, les services de base des collectivit�s locales, comme celui de la gestion et de l�entretien des r�seaux de la ville, ne parviennent pas � se rehausser aussi aux normes de rigueur. Et cela, les Oranais l�ont bien compris, eux qui dans une anticipation froide imaginent le pire lorsque les travaux du m�tro seront lanc�s � Oran, qui dit-on, devra �tre construit dans les lits de trois oueds. Fay�al M. 7 448 tonnes d�ordures pr�lev�es le 3e jour de l�A�d L��radication des points noirs ainsi que les op�rations de pr�l�vement des ordures, � travers la ville d�Oran, s�est davantage accentu�e durant la p�riode de la f�te de l�A�d. Ainsi, au troisi�me jour, les 12 secteurs urbains de la commune d�Oran, concern�s par cette op�ration ont n�cessit� la mobilisation de 25 camions, 17 chargeurs et un Poclin. Selon le bilan de cette op�ration, 118 sites d�interventions � travers les 12 secteurs urbains ont �t� touch�s par cette op�ration de traitement de l�environnement. La plus importante quantit� de d�chets a �t� pr�lev�e au niveau du secteur urbain de Bouamama o� 705 tonnes y ont �t� enlev�s. Au total, les services de la commune d�Oran ont enregistr� le pr�l�vement de 7 448 tonnes de d�combres. A. B. A�ROPORT INTERNATIONAL D�ES-S�NIA AHMED-BEN-BELLA Le premier groupe de 250 hadjs de retour ce mercredi Conform�ment au programme de vols mis en �uvre par Air Alg�rie et Saudia Airlines, les deux compagnies en charge du transport des p�lerins vers les Lieux-Saints de l�Islam, le retour du premier groupe de nos p�lerins constitu� de 250 hadjs est pr�vu pour ce mercredi 31 octobre � l�a�roport international Ahmed-Ben-Bella. Une c�r�monie officielle est pr�vue au niveau de l'enceinte de l'a�roport international d'Es-S�nia pour accueillir ce premier groupe. Sur les 35 vols de la phase aller, l�on nous signale que 18 avaient �t� assur�s par Air Alg�rie et 17 par la compagnie saoudienne. Douze agences de voyages et de tourisme priv�es et publiques ont �t� retenues pour assurer le transport des futurs hadjs pour la saison 2012 � Oran. Le rapatriement des 9 000 hadjs, originaires de toute la r�gion ouest et sud-ouest, se fera � partir des a�rodromes de Djeddah et de M�dine vers Oran, durant le mois de novembre o� un programme de 35 vols est pr�vu � cet effet. Amel Bentolba SIDI BEL-ABB�S 18 mois de prison ferme pour l�accus� de kidnapping et de tentative de viol La cour criminelle de Sidi Bel- Abb�s a, dans la journ�e de dimanche dernier, condamn� � 18 mois de prison alors que l�avocat du minist�re public avait requis 5 ann�es de r�clusion criminelle vu la gravit� des faits reproch�s, le nomm� M. A. accus� d�avoir kidnapp� une jeune fille, �g�e de 24 ans, au niveau de la localit� de Tal Ifassen, dans la wilaya de S�tif et d�avoir tent� de la violer. Les faits de cette affaire remontent � d�cembre 2011 lorsque les �l�ments de la Gendarmerie nationale immobilisent un v�hicule l�ger � un point de contr�le d�un barrage sur l�autoroute Est- Ouest dans la da�ra de A�n El Berd. Lors du contr�le avec les occupants du v�hicule, � savoir le conducteur et la jeune fille en question, cette derni�re a cri� � l�enl�vement par celui-ci. Selon ses d�clarations lors de l�enqu�te, la victime a d�clar� avoir �t� kidnapp�e par le mis en cause � S�tif et conduite � Sidi Bel- Abb�s o� il a tent� de la violer. La victime qui s�est entretemps mari�e a brill� � l�audience par son absence. Et le pr�venu assist� de ses avocats a tent� de convaincre le jury sur son innocence, d�clarant qu�il l�avait demand�e en mariage sans r�sultat et que celle-ci l�avait suivi de son propre gr� � Sidi Bel-Abb�s, rejetant en bloc les accusations de la jeune fille. A. M. Un dealer r�cidiviste � l�ombre Apr�s deux semaines de filature, la police de la ville de Sidi Bel-Abb�s est parvenue � neutraliser un dealer r�cidiviste. Au cours de la perquisition de son domicile, les policiers ont retrouv� 95 flacons de produits hallucinants et 95 comprim�s de psychotropes ainsi que 14 millions de centimes. Avant cela, les policiers ont appr�hend� le mis en cause en plein centre-ville en possession de 4 800 DA. Connu par les services de police pour �coulement de psychotropes, il a �t� arr�t� et �crou� par le procureur de la R�publique de Sidi Bel Abb�s.