Le CABBA, qui a réalisé la bonne affaire en imposant un match nul à l'un de ses concurrents immédiats, le MCO, lequel joue également sa survie en D1, a été félicité par d'anciens responsables à l'instar de Salah Bouda, l'un des premiers boss du Ahly, qui a pris son téléphone juste après le coup de sifflet final de la partie, pour lancer un message d'encouragement à Mourad Snouci, président du CSA et DG de la SSPA. Malheureusement, aucun membre de l'actuelle direction n'a pris la peine de soutenir, ne serait-ce qu'avec de simples mots, le club qu'il gère pourtant depuis trois années. Les anciens dirigeants dans le collimateur Plusieurs joueurs espoirs sont titulaires de contrat, allant jusqu'à quatre et cinq ans, avec le CABBA, depuis 2010. Et bizarrement, ces contrats vont d'une mensualité de 40 000 dinars à160 000 dinars, ce qui risque de coûter une fortune à l'équipe, si ces montants sont multipliés sur quatre à cinq ans d'exercice, d'où l'extrême urgence de mettre les auteurs d'une telle aberration devant le fait accompli en les faisant comparaître devant une commission d'audit. Vers un stage bloqué à BBA La mini-trêve qui aura lieu après le match de Chlef et qui s'étendra sur une durée de 12 jours, sera en principe, passée à Bord Bou-Arréridj, compte tenu de la disponibilité des moyens humains et matériels nécessaires au stage : deux terrains, une piscine semi-olympique, deux salles de sport, une forêt, des équipes locales de bon niveau, une restauration de prestige et un hôtel suffisamment confortable pour héberger l'équipe.