Avec tout le respect et l'estime que m�rite l'�quipe du quotidien le Soir d'Alg�rie, que je consid�re comme la voix des sans voix que sont les pauvres retrait�s. Avec une lueur d'espoir car quand nos messages restent sans �cho on s'accroche toujours � cet espoir et on dit : �On reconna�t l'arbre � ses fruits�, cela se traduit par : �On reconna�t un responsable � son travail.� Pour cette bonne raison je m'adresse aux d�cideurs de la Caisse nationale de s�curit� sociale (CNAS) et ces m�decins sp�cialistes qui boudent cette CNAS. En effet, le dispositif relatif au conventionnement du m�decin traitant et la CNAS ne fait pas l'unanimit�. Tr�s peu de m�decins sp�cialistes ont adh�r� � la d�marche du minist�re du Travail visant � g�n�raliser l'utilisation de la fameuse carte Chifa en d�pit de la r�vision � la hausse des tarifs par la CNAS, le syst�me du tiers payant est largement contest� par les m�decins sp�cialistes en raison des tarifs de consultation jug�s tr�s bas, par rapport aux tarifs fix�s par les m�decins eux- m�mes, et qui d�passe quelquefois les 1 000 et 1 500 DA. Cette situation p�nalise les assur�s sociaux en particulier les retrait�s et les malades chroniques. Devant cette situation p�jorative en mati�re de prestations de la S�curit� sociale. Nous prions, par ce SOS messieurs les d�cideurs de la S�curit� sociale d'user de leur pouvoir dans ce cas d'ordre socio-m�dical. Il est aussi d�cevant de voir les m�decins qui boudent les lois de la S�curit� sociale et � sa t�te un ministre de la R�publique. B. S. Conditions pour la prime de responsabilit� Par lettre � travers le quotidien le Soir d'Alg�rie de mardi 15 janvier 2013 concernant la question relative � l'attribution de la prime de responsabilit�, � savoir les conditions pour pouvoir pr�tendre � cette indemnit� ? Cette question demeure sans r�ponse � ce jour. Pour cette bonne raison je veux dire aux responsables de la CNAS et la CNR � travers ce quotidien qui est �la voix des sans voix� Que le silence est un m�pris et une blessure morale.