Revalorisation de pensions militaires d'invalidité Suite à la récente revalorisation de la pension d'invalidité des personnels du ministère de la Défense nationale, nous vous informons que nous n'avons pas pu bénéficier de cet avantage, assez important, méritoire pour l'ensemble de cette catégorie. Lors du dépôt du dossier de retraite, il ne nous a pas été conseillé d'effectuer les formalités nécessaires (médicales s'entend) par le bureau régional chargé d'accueillir les futurs retraités, comme cela se fait actuellement. Ayant plus de trois décennies activités et de présence permanente, atteints de graves pathologies telles que le diabète et l'hypertension... ne peut-on pas remédier à notre situation, ne serait-ce qu'en nous attribuant une prime d'usure symbolique ? Un groupe d'invalides A quand l'acceptation de comptes bancaires autres que le CCP ? Je remercie le journal Le Soir d'Algérie, rubrique «Soir Retraite» qui fait un travail inestimable au profit de ses lecteurs. Je sollicite aujourd'hui vos colonnes dans l'espoir d'être éclairé. Suite à la circulaire du Premier ministre, obligeant les organismes Caisses de retraite (CNR) et Caisse d'assurance (Cnas), à procéder à la domiciliation bancaire afin de virer les pensions de retraite et les frais médicaux aux retraités désirant opter pour le virement bancaire. L'exécution de la circulaire qui prend effet le 2 janvier 2013 n'est toujours pas appliquée par ces deux organismes. Le Premier ministère, qui est la plus haute institution de l'Etat, ordonne d'appliquer ces circulaires, mais au niveau de l'administration de ces organismes, il y a un blocage. Si on ne les applique pas, c'est qu'il n'y a pas de crédibilité, je ne m'explique pas ce refus, car dans tous les pays du monde, les retraités ont le droit de choisir le mode de paiement qui leur convient, pourquoi chez nous on impose à cette catégorie au moment de la constitution du dossier de retraite l'ouverture d'un compte CCP et pourquoi on n'accepte pas les virements bancaires, les retraités ont les mêmes droits que les travailleurs actifs ? Je lance un appel aux responsables du Premier ministère à rappeler à l'ordre ces organismes afin que la circulaire soit appliquée dans les meilleurs délais. M. T. Halfaoui, wilaya d'Alger Cas rente accident du travail, refus par l'Algérie de virement à un compte bancaire Je suis titulaire d'une rente accident du travail depuis 1959, en France. M'étant installé en Algérie depuis 1961, je percevais cette rente, au début, par virement postale, puis dès que le gouvernement a autorisé le virement en Algérie à un compte devises, elle était virée à mon compte bancaire (CPA puis Badr. En 2008, cette rente m'est virée par mandat postal. Renseignement pris auprès de l'organisme de la Sécurité sociale en France, il s'est avéré que c'est l'Algérie (Banque d'Algérie) qui refuse ce moyen bancaire de virement. J'ai saisi la Banque d'Algérie à ce sujet, aucune réponse. Après plusieurs démarches auprès de la Badr, boulevard Amirouche, pour comprendre le pourquoi de ce refus, aucune réponse ne m'est parvenue. Aucun responsable n'a voulu me recevoir. Les écrits n'ont eu aucune suite. Il faut que je signale que je suis par ailleurs titulaire d'une petite retraite en France que je perçois par virement bancaire (Badr). De plus, je suis bénéficiaire d'une retraite de fonctionnaire en Algérie. Ma question : le pourquoi de l'impossibilité à faire virer ma rente (trimestrielle) à mon compte devises en Algérie. M. Belkadi M. A., El Mohammadia, Alger Reconstitution de carrière à confirmer Je soussigné, Mohamed Yousfi, né le 15/07/1932, retraité de la DGSN, Dt cité Maqam Chahid 22 006, Sidi-Bel-Abbès. Dans l'espoir de récupérer quelques points à ajouter à ma maigre pension de retraite, en octobre 2011, j'ai adressé une requête à la Caisse nationale de retraite, agence de Sidi-Bel-Abbès, pour signaler quelques années de travail que j'ai effectuées au sein de l'usine de fabrication de papier la Cellunaf sise à Baba-Ali.En effet, j'ai été recruté à la Cellunaf le 3 mars 1956 où j'ai exercé sans interruption jusqu'au mois de mai 1960 pour aller au Sud. La CNR de Sidi-Bel-Abbès m'a notifié les recherches infructueuses. Devant ces faits, je me suis déplacé à Baba-Ali où il m'a été remis l'attestation de travail sur laquelle est mentionné «archives égarées». Par esprit de vengeance, les étrangers qui vivaient en Algérie ont, la veille de leur départ, tout saccagé et brûlé les archives. Pas seulement à Blida, mais partout ailleurs en Algérie là où ils ont été soutenus par les services de sécurité et l'armée française. La CNR de Bel-Abbès ne semble pas ajouter foi au rapport à ceci, quand M. le liquidateur de l'usine m'a assuré que les anciens employés auxquels on a remis des attestations de travail ont bénéficié de très bons résultats. Monsieur le directeur du Soir d'Algérie espace «Soir Retraite», j'ai l'honneur de vous faire parvenir le document annexé et vous pris de bien vouloir me renseigner quant à la marche à suivre et de voir paraître la réponse sur le journal. M. Yousfi Réponse : Pour les années d'activité salariée (avec versement de cotisations retraite) antérieures à l'indépendance, la reconstitution de carrière pour faire valoir ses droits à la retraite a souvent été un casse-tête pour nombre de retraités, à l'image de ce lecteur. Nous conseillons à ce dernier de saisir directement le directeur général de la CNR à Alger, d'autant plus, selon ce lecteur, que ses collègues dans la même entreprise et pour la même période ont obtenu gain de cause. Demande d'intervention au sujet de la retraite algérienne Références : SS 847 567 1re demande 19/10/2004 No 1er dossier PL/1/347 334/COA No 2e dossier PL/1/022 103/COA J'ai l'honneur de m'adresser à vous Monsieur le directeur du journal Le Soir d'Algérie. Etant un fidèle lecteur de votre quotidien pendant mon séjour en Algérie, je m'adresse à vous au sujet de l'injustice que j'ai subie de la part de la Caisse nationale de retraite agence Bougara, Alger. J'ai entamé les premières démarches le 19octobre 2004 suite à l'accord franco-algérien du 10/10/1980. Depuis cette date, j'ai effectué les démarchés tant au niveau français qu'algérien, aucun résultat. J'ai frappé à toutes les portes, consulat algérien, ambassade, ministère, journal El Watan, etc., toujours aucune réponse, sans oublier les démarches personnelles et envoi tout dossier demandé, il y en a eu un paquet à la Caisse de retraite de Bougara. Ayant appris par la lecture de votre quotidien sur les scandales des caisses de retraite de Blida et Tipasa, par votre intermédiaire je voudrais savoir pourquoi cette injustice. M. Belheirane Bachir Angers (France) Réf no SS 847 567 Majoration pour conjoint à charge Ayant été recruté le 10 janvier 1968 au sein d'un corps de la Fonction publique, je fus admis à la retraite le 1er mars 2002, à l'âge de 55 ans. Sachant que la loi no 83/12, du 2 juillet 1983, relative à la retraite, avait consacré le droit à une majoration de pension à travers son article 15, celle-ci a été modifiée et complétée suivant la loi no 99/03 du 22 mars 1999, d'où la révision du mode de culcul de cette mojoration pour conjoint à charge, qui est un avantage complémentaire à une pension liquidée postérieurement à la date du 1er janvier 2000. En ce qui me concerne, j'ai bénéficié de la majoration pour conjoint à charge comme suit : - Du 1er mars 2002 au 30 août 2004, à raison de 700 DA au lieu de 1730 DA - Du 1er septembre 2004 au 31 décembre 2007 à raison de 1 000 DA au lieu de 1730 DA - Durant l'année 2008 à raison de 1 250 DA au lieu de 1 730 DA - Du 1er janvier 2009 au 30 avril 2011 à raison de 1 500 DA au lieu de 1730 DA - Du 1er mai 2011 au 30 octobre 2012 à raison de 1 730 DA - Du 1er novembre 2012 à ce jour à raison de 2 500 DA Compte tenu de ce qui précède, je voudrais savoir si j'ouvre droit à une indemnisation complémentaire pour la période du 1er mars 2002 au 30 avril 2011, pour atteindre le montant de 1730 DA, au profit de mon épouse, comme celles qui ont bénéficié de la même somme durant cette durée. M. B. M., Saïda Réponse : Le montant de la majoration pour conjoint à charge a subi des évolutions selon l'année de départ à la retraite. Selon la réglementation en vigueur, vous ne pouvez pas prétendre à l'indemnisation évoquée.