Les entreprises étrangères sont souvent favorisées en matière de marchés publics face aux opérateurs algériens. C'est notamment le cas de plusieurs hautes institutions qui refusent aux nationaux le nantissement des contrats auprès des banques algériennes comme mode de financement. Par contre, les opérateurs étrangers se voient ouvrir des lettres de crédit facilitant ainsi le financement de leurs opérations par leurs propres banques. Une situation qui n'est pas pour faciliter l'émergence d'un secteur national privé performant.