Malgré les différents appels incessants des habitants mitoyens d'un lycée, un collège et une école primaire, envers les élus locaux qui se sont succédé à la mairie, aucune suite favorable n'a eu lieu. Il s'agit en effet de la route reliant la cité populaire «El Intissar» vers la déviation des poids lourds sur une distance de 2 km qui connaît un trafic jamais égalé, notamment depuis sa réfection. Cette route fraîchement tapissée en béton bitumé, longe cette importante agglomération dont la majorité des habitations sont implantées tout le long, séparées seulement par un fossé sans trottoirs ni aucune autre mesure de sécurité. La plupart de ces maisons donnent directement sur cette route et pour certaines, le bitume de la chaussée constitue le pas de leurs portes. Aussi, il n'est pas rare d'y voir un enfant en bas âge échapper à la surveillance de ses parents et ramper à même la chaussée ou titubant, tenant à peine debout. Plusieurs accidents ont eu lieu dans cette cité. De ce fait, la nécessité de l'aménagement de ralentisseurs sur cette route est pour le moins urgent vu le danger qui guette quotidiennement les habitants. Cette cité est aussi dépourvue de ralentisseurs. Ici aussi le danger d'accident plane à des degrés très importants, depuis son revêtement il y a moins de 2 années. Plusieurs accidents de la circulation sont survenus sur ce chemin faisant de nombreuses victimes, mais les autorités locales continuent de faire la sourde oreille quant à sa sécurisation par l'implantation de dos-d'âne. Une opération qui ne demande pourtant pas de grosses sommes d'argent. Les habitants de la dite cité lancent un appel à la première responsable de la wilaya pour l'installation des ralentisseurs, surtout que les risques d'accidents s'accentuent. Signalons que cette route se trouve à côté de trois établissements scolaires, à savoir une école, un CEM et un lycée et beaucoup d'élèves empruntent la dite route. A. Rahmane La formation professionnelle s'ouvre au public La direction de la formation professionnelle de la wilaya de Relizane organise depuis le mois de juillet, et jusqu'au 20 septembre, des journées portes ouvertes sur son secteur afin d'informer le public sur les différentes formations qui seront proposées au cours de la prochaine rentrée. C'est dans l'enceinte de la Maison de la culture que plusieurs organismes ont été invités pour participer à cet événement tels que : la direction de la petite et moyenne entreprise et l'artisanat, l'Ansej, la Cnac, la direction de l'emploi, l'Anem, l'Odej, l'Office national d'alphabétisation et de l'enseignement, la DAS, la direction du tourisme et de l'artisanat et deux associations, et une association de non-voyants. Ces portes ouvertes s'adressent à deux publics bien distincts, il s'agit des jeunes à la recherche d'une formation qualifiante ou diplômante mais cet événement cible également les femmes au foyer, notamment celles issues du milieu rural. Une pléiade de formations est proposée tels : l'horticulture espace vert, apiculture, aviculture, élevage de petits animaux dans le secteur de l'agriculture, mais aussi dans le secteur du bâtiment où il est offert des formations en maçonnerie, électricité bâtiment, plomberie sanitaire, gaz, peinture bâtiment, garniture auto, électricité industrielle, plâtrier plaquiste, serrurerie forge soudure, froid et climatisation, couture broderie, coiffure dames, etc.