Les policiers de la deuxi�me s�ret� urbaine de la ville de Boumerd�s ont mis fin, gr�ce � la vigilance citoyenne, aux agissements d'une bande de malfaiteurs qui cambriolait des habitations dans les communes de Bab-Ezzouar, Rouiba et Boumerd�s-ville. En effet, le 7 de ce mois, vers 16 h, deux �l�ments de cette bande — R. H., 23 ans, plombier, et N. M., 19 ans, ch�meur, originaires de la ville de R�gha�a (wilaya d'Alger) —, croyant que l'appartement cibl� � la cit� des 350-Logements de Boumerd�s-ville, �tait inoccup�, ont essay� de forcer la porte. Le propri�taire a vite r�agi en appelant � l'aide ses voisins qui n'avaient pas h�sit� � accourir tout en ceinturant la maison. Les policiers qui sont intervenus imm�diatement ont proc�d� � l'arrestation des deux bandits. Chez ces visiteurs malintentionn�s, les policiers ont d�couvert un v�ritable arsenal de parfaits casseurs : cl� � griffes pour forcer les serrures des portes blind�es, cl�s � molette, tourne-vis... La technique des voleurs consiste � rep�rer les habitations qui seraient inoccup�es momentan�ment, pour agir en for�ant � l'aide de leur mat�riel m�me les portes blind�es, pour d�rober tout ce qui peut l'�tre, notamment l'argent, les bijoux, petits appareils �lectrom�nagers... "Tout ce qui est � vendre dans la rue n'�chappe pas � leur cupidit�", nous dit le commissaire Djamel. Lors de l'interrogatoire des policiers, les cambrioleurs ont divulgu� le nom du troisi�me complice, N. N., ch�meur demeurant � Corso (wilaya de Boumerd�s). Les voleurs sont pass�s ensuite aux aveux pour reconna�tre sept vols par effraction d'appartements commis dans les trois localit�s suscit�es. A l'issue de l'enqu�te des policiers, les trois criminels ont �t� pr�sent�s au procureur de la R�publique de la ville de Boumerd�s qui les a inculp�s pour constitution de bande de malfaiteurs et vol par effraction. Ils ont �t� plac�s sous mandat de d�p�t � la maison d'arr�t d'El-Harrach. Le commissaire de la deuxi�me s�ret� urbaine de Boumerd�s se montre tr�s satisfait de ce r�sultat obtenu, selon lui, gr�ce au travail collectif. "Il est aussi la r�sultante d'un travail de proximit� entam� par nos unit�s envers les citoyens en vue de r�tablir durablement la confiance entre les forces de l'ordre et la population", dit-il non sans ravissement. Les routes de Taourga impraticables Les citoyens de la ville de Taourga et des villages environnants vivent depuis les derni�res chutes de neige un calvaire au quotidien que ce soit pour se d�placer � l'int�rieur de leur commune, que pour se rendre au chef-lieu de la da�ra de Baghlia "o� ils effectuent l'essentiel de leurs approvisionnements, des d�marches administratives ou bien pour rejoindre tout simplement leur poste de travail", nous dit M. Attouchi, le P/APC. En effet, pour regagner cette derni�re ville, distante de 11 kilom�tres, les automobilistes et les fourgons font un d�tour dangereux en cette p�riode d'ins�curit� � cause d'un glissement de terrain sur le CW52, qui tarde � �tre r�par� par une entreprise pas tr�s performante, nous dit-on. Par ailleurs, l'utilisation des gros engins pour chasser la neige et d�senclaver cette commune montagneuse et sans ressources a, certes, permis de secourir, en son temps, les familles mais avait d�t�rior� les chemins communaux, notamment ceux menant vers les villages de Mazar, Imekhlef, A�t-Attar qui ont �t� rendus par cette alt�ration difficilement carrossables. L'APC a pr�sent� cinq fiches techniques au wali de Boumerd�s en vue de leur prise en charge dans le cadre des PCD ; Cependant, les citoyens se montrent, � juste titre, impatients. L'UGCAA fait le m�nage Les membres du bureau local de l'Union g�n�rale des commer�ants et artisans ont fait le m�nage dans l'instance de la wilaya de Boumerd�s. En effet, � l'issue de leur r�union sanctionn�e par un PV dont Le Soir d�tient une copie, ces responsables ont install�, dans l'attente d'un congr�s national de cette organisation, un nouveau coordinateur de leur wilaya. De ce fait, l'ancien num�ro un de l'UGCAA de Boumerd�s est �vinc�. Les membres du bureau de la wilaya lui reprochent plusieurs griefs, notamment le fait qu'il r�side hors de la wilaya, qu'il ne soit pas recens� sur le registre du commerce de la r�gion et son monopole sur cette instance r�gionale depuis 1996 sans qu'il eut �t� �lu � l'�poque. De plus, s'agissant de l'affectation des autorisations de construction de locaux commerciaux aux sinistr�s, cette r�partition soul�ve des interrogations pour avoir �t� r�alis�e dans l'opacit� qui soul�ve, selon nos vis-�-vis, bien des supputations.
Le diab�te type 2 en d�bat L'Association de formation m�dicale continue et de promotion de la sant� de la da�ra de Bordj-Mena�el a organis� � l'intention des m�decins de la wilaya une journ�e d'�tude sur les maladies chroniques. Le th�me de cette session a �t� intitul�e : "Le diab�te de type 2. La glyc�mie post-prandiale, risques cardiovasculaires". Tr�s important pour une prise en charge efficiente des malades, le sujet a �t� trait� par le docteur Aouali Rabah et la repr�sentante du laboratoire Novo, le docteur Louni Radia. "L'�volution des maladies et des technologies en mati�re de soins n�cessitent une mise � jour constante des connaissances", nous a d�clar� le docteur Tafat, pr�sident de cette association organisatrice de cette rencontre. De m�me que cette association, qui ne cache pas l'ambition de s'implanter au niveau de toute la wilaya, a pr�par�, en 2004, une vingtaine de minicolloques de formation continue � l'intention des praticiens de la r�gion. Dans le sillage de ce conclave scientifique, il a �t� annonc� la naissance de l'association des m�decins de la ville de Dellys.