Nous avons l'honneur de vous demander de bien vouloir ins�rer dans votre journal, � la page "Soir Retraite", notre mise au point � la lettre de M. Boussaha Rabah, que vous avez fait para�tre dans l'�dition du 8 juin 2005, relative au forfait t�l�phonique, accord� jusqu'ici aux travailleurs des P et T en g�n�ral et aux retrait�s en particulier, et ce, afin de r�tablir la v�rit� et lever toute �quivoque dans l'esprit de ces derniers. L'int�ress�, secr�taire g�n�ral du conseil syndical UGTA des retrait�s des P et T de Annaba, membre du conseil de notre coordination nationale, a incrimin� notre secr�tariat ex�cutif et la f�d�ration UGTA/PT de ne pas avoir pris en charge le probl�me de la suppression du forfait t�l�phonique dont ont b�n�fici� � ce jour les retrait�s des P et T au m�me titre que les travailleurs actifs du secteur. Ou M. Boussaha est de mauvaise foi et nous ne comprenons pas son attitude, ou il ne prend pas connaissance, ce qui est anormal, des informations que nous communiquons r�guli�rement � nos conseils syndicaux des wilayas quant, notamment, aux r�sultats de nos interventions, nos d�marches et notre activit� syndicale en g�n�ral, int�ressant tous les retrait�s postiers � l'�chelon national, qu'ils soient ou non adh�rents � notre organisation, comme l'attestent les photocopies des documents ci-annex�s dont il a �t� rendu destinataire en temps utile, notamment le 7 mai 2005 par courrier postal recommand�. En l'occurrence, pour ce qui est du forfait t�l�phonique, Monsieur le P-DG d'Alg�rie T�l�communications a �t� saisi. A ce jour, aucune r�ponse officielle n'a encore �t� donn�e. Notre pers�v�rance militante et la prise de conscience par les gestionnaires du secteur qu'un acquis devient en principe p�renne, nous permettant d'esp�rer une suite rapide et favorable � cette pr�occupation majeure : continuer � b�n�ficier du forfait t�l�phonique qui est quantit� insignifiante dans la balance des comptes d'Alg�rie T�l�communications. Il va de soi que si notre d�marche n'aboutit pas, nous solliciterons l'intervention de la f�d�ration UGTA/P et T et, �ventuellement, si besoin est, celle de la Centrale syndicale, aupr�s des hautes autorit�s du secteur. Le succ�s de notre action syndicale d�pend de notre solidarit� mutuelle et de notre mobilisaton dans les rangs de l'UGTA pour b�n�ficier de l'aide des structures syndicales des travailleurs actifs, car les retrait�s ne disposent d'aucun moyen de coercition pour se faire entendre en cas de besoin. La solidarit� proverbiale de la grande famille posti�re s'�tait manifest�e par la tenue de la conf�rence nationale le 26/10/02 et le secr�tariat ex�cutif a fait des perc�es remarquables pour faire sortir le postier retrait� de l'anonymat. Il a m�me r�ussi gr�ce � la compr�hension et la reconnaissance envers ses a�n�s de la f�d�ration UGTA/P et T � inclure les retrait�s postiers dans le b�n�fice des œuvres sociales et de la mutuelle des P et T (aides financi�res remboursables et non remboursables, centres de vacances pour familles, cures thermales, �dition d'un bulletin d'information adress� � domicile � chacun (e) des retrait�s des P et T), qu'elle en soit remerci�e. Enfin, permettez-nous de f�liciter et de remercier vivement votre journal pour l'aide immense qu'il apporte � la solution des probl�mes des retrait�s et � faire prendre conscience � ces derniers, semaine apr�s semaine, de la n�cessit� de se mobiliser aux c�t�s des travailleurs actifs, pour d�fendre le syst�me alg�rien de protection sociale. Nous vous prions d'agr�er, Monsieur le directeur, nos respectueuses salutations syndicales. Le secr�taire g�n�ral de la coordination nationale UGTA des retrait�s des P et T, M. Benhidj