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SKIKDA/4e SESSION DE L'APW
Le secteur de la jeunesse et des sports � la loupe
Publié dans Le Soir d'Algérie le 05 - 01 - 2006

Dotation des grandes communes qui ne sont pas dot�es de salles de sport collectif, et celle du chef-lieu de wilaya d�une capacit� de 3 000 places, r�alisation d�aires de jeux au niveau de toutes les communes et cit�s, pose de gazon artificiel sur la pelouse du stade de Azzaba, inscription du projet d�un stade � El-Harrouche d�une capacit� de 5 000 places, de deux piscines semiolympiques � l�est et l�ouest de la wilaya et d�une autre olympique � la commune de Skikda, redynamisation des activit�s des auberges de jeunesse � travers les communes et cr�ation au niveau de celles-ci de complexes de proximit� et impr�gner au secteur une plus grande rigueur dans ses missions de contr�le, de formation et d�orientation dans le cadre du d�veloppement des activit�s de jeunesse et de la pratique sportive.
Telles sont les neuf recommandations �mises par la commission des affaires sociales et culturelles contenues dans le rapport pr�sent� au cours de la 4e session ordinaire qui s�est tenue les 27 et 28 d�cembre relatives au secteur de la jeunesse et des sports. Ce secteur a attir� l�attention des �lus dans ses aspects li�s aux activit�s de la jeunesse et des disciplines sportives. C�est tout. Ils manquent � leur �plaidoirie� les probl�mes d�emploi et les contraintes d�investissement dans le cadre des diff�rentes formules � bien que le rapport en a fait furtivement r�f�rence � dont souffrent les dipl�m�s de l�universit� et des instituts, ainsi que les sans-qualification. La d�linquance juv�nile et ses incidences sur la s�curit� et la sant� publiques est un autre sujet qui m�riterait un autre rapport d�investigations. Autant de th�mes � aborder un jour. Revenons au premier point pour affirmer que l�initiative m�riterait une halte, car elle a permis de mettre � nu les carences �disponibles� � profusion dans un domaine r�serv� � une tranche d��ge (le rapport la fixe entre 10 et 29 ans) ou � sa d�perdition, et cela en fonction de ce qu�on met � sa disposition en mati�re d�infrastructures d�accueil, de formation, de jeux et de loisirs, d�aires de jeux, d�encouragement des initiatives � caract�re sportive, culturelle et autres. Dans ce contexte, le rapport les juge tr�s insuffisantes pour r�pondre aux attentes escompt�es. Le rapport d�nombre 177 826 jeunes constituant la tranche d��ge pr�cit�e, ce qui repr�sente un taux de 20 % de la population globale de la wilaya qui est de 890 554 personnes. Les auberges de jeunesse sont au nombre de 17 pr�sentes dans 14 communes, couvrant ainsi 37 % du territoire. On y �num�re trois au chef-lieu (les cit�s des Fr�res-Saker et Mohamed Namous (Koubia) et la localit� de Oued K�sob) et deux � Collo (Collo et Abdelaziz-Mohamed-Ramoul). Les autres se trouvent � Filfila, Azzaba, A�n Cherchar, Ben Azzouz, Salah-Bouchaour, Harrouch, Emzedj Edchiche, Sidi Mezghiche, A�n Kechra, Tamalous, Kerkera et Zitouna. Le manque flagrant en ressources financi�res a affaibli le rendement de ces auberges relevant du CIAJ (Centre d�information et des activit�s de jeunesse), qui peinent m�me � entamer des travaux de maintenance, de peinture et � assurer le gardiennage et l�hygi�ne. Leurs seules recettes proviennent des tarifs d�adh�sion � la biblioth�que et l�Internet (cette derni�re n�est op�rationnelle qu�� Skikda), et puisque le nombre d�adh�rents est de 7 000 jeunes (4 465 filles et 2 435 gar�ons), soit 4 % seulement du nombre global des jeunes, on peut d�embl�e avoir une id�e pr�cise de l�ambiance y pr�valant. Anciennet� des b�tisses (le cas de celle de Mohamed- Namous), exigu�t� des locaux � A�n Cherchar, Sidi Mezghiche en d�pit que cette derni�re a honor� � maintes reprises la wilaya au niveau national, un cas qui devrait inciter � l�inscription d�un projet de maison de la culture pour r�pondre aux attentes de la population locale �, manque flagrant d��quipements n�cessaires (mat�riel de bureau, documentation, instruments de musique...) sont autant d�entraves soulign�es. Les maisons de jeunes sont au nombre de deux seulement implant�es � Skikda (cit� des Fr�res-Saker) et Collo (cette derni�re bien que r�ceptionn�e n�a vu aucune manifestation se tenir � nos jours). Concernant les camps de toile, le rapport en recense 14 dont celui de Larbi-Ben-M�hidi, consid�r� comme le plus important mais dont l�exploitation se limite � la saison estivale seulement. Le document classe les activit�s de jeunesse en deux : celles que pratiquent les jeunes dans les diff�rentes infrastructures pr�cit�es avec le concours d�encadreurs p�dagogiques, et autres que lancent sous leur �gide des associations li�es aux institutions publiques par des contrats ou des programmes en commun. Le nombre de ces associations est de 68 : 36 culturelles et artistiques, 10 scientifiques et 22 de loisirs en plus de trois ligues sp�cialis�es : la Ligue des activit�s culturelles et scientifiques de jeunesse, la Ligue des activit�s en plein air, loisirs et �changes entre jeunes et une troisi�me des espaces scientifiques des jeunes. Les activit�s de jeunesse varient par leur envergure d�une r�gion � une autre, et d�une auberge ou maisons de jeunes � d�autres. Dans ce contexte, Skikda, Azzaba, Harrouche, Sidi Mezghiche, Collo se placent en pole position en termes de manifestations organis�es, bien que contestables sur les plans quantitatif et qualitatif. Par contre, les autres communes, pour des raisons �nonc�es plus haut, ont brill� par le manque d�implication dans la perp�tuation des actions visant leur d�senclavement et incidemment stimuler l�esprit d�initiative chez les jeunes. Il a �t� �galement constat� que les scolaris�s �prouvent des difficult�s li�es au volume horaire des cours � rejoindre les maisons de jeunes, o� on d�c�le une importante pr�sence de ch�meurs et surtout de la gent f�minine. Le bilan de l�an 2005 fait ressortir la pr�dominance des activit�s des associations � caract�re culturel et artistique sur celles des associations � caract�re scientifique : 58 contre 10 est le score relev�. Il conviendrait de citer quelquesunes, dont malheureusement la qualit� fait cruellement d�faut, et ce, selon l�avis des concepteurs du rapport, l�organisation du 11e festival des arts plastiques, le carnaval de Skikda 2005, une soir�e artistique interrompue le 16 juin au stade du 20-Ao�t, le concours de jeunes dans diff�rents domaines du 01/09/2004 au 01/11/2005, les caravanes ciblant les communes disposant d�institutions pour jeunes de mars � mai, de sept campings dont ont b�n�fici� 4 275 personnes, 62 sorties en mer au profit de 3 100 enfants de 22 communes d�munies, de journ�es de sensibilisation contre les fl�aux sociaux durant 38 jours, sous l��gide de la cellule de la sant� des jeunes relevant du CIAJ, et dont ont b�n�fici� 16 000 jeunes. Il a �t� �galement proc�d� � l�accueil de 90 Batn�ens en juillet et 60 jeunes de S�tif, Tlemcen et Khenchela, dans le cadre d��changes entre wilayas, une initiative dont ont b�n�fici� �galement 45 Skikdis. Dans ce volet, les concepteurs n�ont abord� que les moyens mat�riels et humains relevant de la direction de la jeunesse et des sports, bien que quelques passages accord�s aux APC ne peuvent �tre occult�s. Les infrastructures sportives sont au nombre de 32 dont 12 au niveau du chef-lieu r�parties entre 9 structures : complexe sportive de wilaya (l�OPOW de Hamrouche-Hamoudi), salle couverte (5), complexe de proximit� (5), terrain de foot (1 � Azzaba), aires de jeux (16), une piscine olympique, un court de tennis, un boulodrome et une salle omnisports (1 pour chacun). Le cas de l�OPOW de Hamrouche- Hamoudi a accapar� l�essentiel de l�espace r�dactionnel r�serv� � ce sujet eu �gard � son importance sur le plan sportif bien s�r et � la d�gradation avanc�e qui le caract�rise. A pr�sent, il s�est vu allouer 8,5 milliards de centimes : 6 pour la r�alisation de la piste, 1,5 milliard pour la pose du gazon artificiel et 1 milliard destin� � l�am�nagement interne et externe. En outre, on s�interroge �galement sur l�utilit� de faire travailler 25 employ�s (exer�ant leur fonction au complexe de Hamrouche-Hamoudi) dans les domaines technique et p�dagogique en leur r�servant un budget de fonctionnement de l�ordre de 3,3 milliards de centimes dont 81 % destin�s � la masse salariale, et tout en signalant que ce complexe n�a vu se d�rouler dans son antre aucune activit� depuis des ann�es. Pour rem�dier � ces lacunes, il a �t� d�cid� l�installation d�un conseil d�administration qui n�a pas, malheureusement, comme le CIAJ, tenu � nos jours ses r�unions p�riodiques depuis des ann�es. Les complexes de proximit� se caract�risent par un manque flagrant dans les commodit�s n�cessaires (chauffe-bain, eau...) ainsi qu�une d�gradation des terrains de jeu, comme celui de Azzaba et inach�vement des travaux de r�alisation de celui de Tamalous. Les salles couvertes sont devenues par manque d�organisation de comp�titions officielles � le cas de Azzaba � l�abri de manifestations �conomiques causant ainsi leur endommagement et provoquant la disparition des clubs locaux. D�autres par contre connaissent un afflux consid�rable d��quipes, notamment du handball (Skikda et Harrouch particuli�rement), d�o� la difficult� de leur accorder une place pour effectuer les entra�nements, en plus de leur non-homologation pour abriter les matchs officiels (division Excellence). Les terrains de proximit� (16 et ce, sans compter ceux relevant des APC), vu leur implantation au sein des cit�s et agglom�rations urbaines, connaissent un afflux consid�rable pendant les vacances et les week-ends, d�o� la proposition de revoir leur nombre � la hausse. Destin�s th�oriquement au handball, basket-ball ou volley-ball, elles ont �t� d�tourn�es de leur vocation initiale, pour abriter des matchs de foot, d�o� leur d�gradation et d�molition parfois. Les terrains de football connaissent �galement une situation �catastrophique�. A part celui de Azzaba, appartenant � la DJS et dont l�enveloppe financi�re allou�e � la r�habilitation de la pelouse demeure insuffisante aux dires des sportifs de cette r�gion, tous les terrains appartiennent � l�APC et sont dans un �tat lamentable, qu�illustrent �l�impraticabilit� de la pelouse, l�absence ou la v�tust� des vestiaires, l�absence de gradins, s�curit� d�faillante. Le terrain d�El-Hada�ek devra encore attendre ! Le site initial a �t� affect� � l�implantation d�un projet de logements sociaux et le deuxi�me, vu sa nature rocheuse, ne peut convenir � un terrain de football. On d�nombre, selon le rapport de la DJS, 105 clubs r�partis � travers la wilaya, et affili�s � 16 ligues sp�cialis�es et 3 multisports. En plus de ceuxl�, il convient de mentionner 7 ligues communales de sport de proximit�. Le sport � Skikda est repr�sent� par 22 pratiques. On souligne un net recul dans le nombre des adh�rents. Pour preuve, en l�an 2000, leur nombre
�tait de 18 000 inscrits dans 123 clubs. En l�an 2005, ils �taient pr�s de 14 000 dans 105 clubs, ce qui repr�sente seulement 7,9 % des jeunes. Cette d�fection par rapport au sport serait due � plusieurs raisons, la focalisation de l�attention des pouvoirs publics sur le football (pas toutes les �quipes) au d�triment d�autres disciplines en y mettant � sa disposition des sommes faramineuses sans l�exigence de r�sultats en contrepartie, non-prise en charge des athl�tes ayant r�alis� de bons r�sultats aux niveaux national et international (le cas du Moustakbel Erriadhi d�athl�tisme de Tamalous est �difiant : participation au championnat national � trois reprises, qualification au championnat maghr�bin cinq fois et mondial 3 fois), le manque de stimulation des clubs � travers l�organisation de comp�titions locales...
Quand le d�bat en salle vient � manquer
Les interventions des �lus dont le but est d�enrichir le d�bat et suppl�er aux efforts des concepteurs du rapport en leur soulignant les oublis, ainsi que proposer d�autres alternatives visant � combler les retards, ont encore une fois d��u. Malheureusement, la tendance r�gionaliste frise le paroxysme et prend des proportions alarmantes, privant comme toujours les dossiers d�un d�veloppement escompt�, si jamais tel en est l�objectif de la premi�re institution �lue de la wilaya. En effet, entre l�appellation des r�gions par leur nom (la plupart de l�ouest de la wilaya) d�o� est originaire l�intervenant et le recours au silence qui est d�or, une �lue a pris la parole pour dire : �Dans des cas Essamtou hikmatoune�, pas grand-chose ne pourrait �tre relev�, hormis les propos d�un �lu FLN, Bouidioua, qui s��tait interrog� sur �les crit�res d'�valuation et de r�partition des dotations attribu�es aux associations sportives, le nombre des effectifs d�encadrement, salari�s et b�n�voles�, et d�un �lu Hamas, reprenant � son compte l�une des recommandants de la commission install�e � l�issue de l�incident du GL1K, survenu le 19/01/2004, et dans laquelle il proposait �l�implication des unit�s de la plateforme p�trochimique de Skikda dans la subvention des clubs locaux�. Un �lu FLN, Mokrane, a eu au moins le m�rite d�attirer l�attention sur l�in�luctabilit� d�inscription d�un projet de salle de proximit� � El-Marsa, une r�gion se trouvant � l�est de Skikda. C�est tant mieux pour l��quilibre r�gional.
Les ��claircissements� du DJS et du wali
Le DJS, qui s�est entour� de trois de ses chefs de service, a essay� de faire de son mieux pour r�pondre aux questions des �lus. Equipement des auberges de jeunesse des grandes da�ras, r�servation de 4 milliards de centimes pour ceux de B�ni-Zid et Ouled- Attia, lancement des travaux de r�alisation d�un CSP (complexe sportif de proximit�) � Tamalous, apr�s avoir r�gl� le litige entre le secteur de la jeunesse et de la justice... sont parmi les plus importants projets dont il a parl�. Le cas de l�OPOW a figur� �galement dans son intervention, lequel sera dot� en outre des 8,5 milliards allou�s, d�une unit� m�dicale d�une valeur de 3 milliards de centimes et probablement d�une piscine olympique. Au sujet du CSP de Ramdane-Djamel, inscrit en 1982, il a expliqu� que le terrain affect� � son implantation est inondable, et c�est ce qui a entrav� le bon d�roulement des travaux. L�entrepreneur n�est pr�sent sur les lieux du projet que trois fois par an. Le nombre d�encadreurs de 399 demeure insuffisant. Il apprendra �galement � l�assistance que, selon la r�glementation en vigueur, l�accompagnement financier des associations se fait en fonction des moyens dont elles disposent pour la r�alisation du contenu de leur programme, et non en fonction de ce dernier uniquement. Le wali a, pour sa part, annonc� que 100 milliards de centimes seront destin�s au titre du programme sectoriel (2006 et 2007) au secteur de la DJS, une somme qui devrait att�nuer un tant soit peu les contraintes existantes. Le recours aux PCD est in�vitable dans le cas d�insuffisance, affirmera- t-il. Il revient un peu sur les progr�s enregistr�s dans d�autres wilayas � l�instar de S�tif et Annaba, � travers la r�alisation respectivement de 22 terrains de proximit� et 10 auberges de jeunesse. Il pr�conisera �galement comme d�marche salutaire, le rencensement de tous les terrains de jeu et � les prendre en charge dans le cadre d�une convention entre le secteur de l��ducation et la DJS. L�ouverture d�un terrain de jeu � Stora � l�initiative de la Conservation des for�ts, et un autre entre les localit�s de Filfila et Larbi-Ben-M�hidi � l�actif de la direction de l�environnement, figurent parmi les prochaines concr�tisations sur lesquelles tablent les instances comp�tentes. Il conclura son intervention par les deux voyages, d�une dur�e d�une semaine chacun, organis�s par la wilaya � Tunis et Oran au profit respectivement de la JSES (handball) et JSMS (football), et ce, en signe d�encouragement aux r�sultas qu�ils ont r�alis�s.


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