Je viens par la pr�sente vous demander de bien vouloir me renseigner sur la validation pour la retraite des ann�es de formation dans un institut. Pendant la formation, j��tais affili� � la Casoran, sous le n� 894-531 dont le n� d�adh�rent �tait 900 33, durant l�ann�e 1976. Je me suis pr�sent� � la Caisse nationale de retraite pour avoir des explications sur la validation de ces ann�es de cotisation, durant ma formation. J�ai eu une r�ponse de cette caisse que pendant cette p�riode de formation, l�affiliation � la S�curit� sociale n�englobait que le remboursement des frais m�dicaux et les accidents, mais que l�on pouvait racheter ces ann�es de la Casoran, en cotisant. Je vous demande de bien vouloir me r�pondre. Un lecteur d�El Malah ( A�n-T�mouchent) REPONSE : Comme nous l�avions d�j� annonc� � plusieurs reprises dans ces m�mes colonnes, la l�gislation en mati�re de retraite est tr�s claire : les cotisations sociales vers�es durant la p�riode de formation ne sont pas prises en compte pour le calcul de la pension de retraite. D�autant plus que dans ces cotisations ne figure pas une quote-part retraite, tout simplement. Les �normes lenteurs des commissions de recours En premier lieu, je tiens beaucoup � remercier Le Soir d�Alg�rie pour les efforts qu�il emploie pour satisfaire les lecteurs du quotidien. Je vous prie de bien vouloir nous �clairer sur les droits et devoirs des assur�s aupr�s de la commission de recours de la Cnas. J�ai transmis 4 dossiers de maladie le 12 mars 2005 par lettre recommand�e n�4782, avec un rappel le 29 juin 2005, et � ce jour, je n�ai pas re�u de r�ponse. Veuillez agr�er l�expression de mes sinc�res salutations. M. R. M., S�tif REPONSE : De tr�s nombreux assur�s sociaux envoient r�guli�rement des demandes de recours aux commissions de recours des diff�rentes caisses de S�curit� sociale (Cnas, CNR, Casnos). Les dossiers ne cessent de s�accumuler par milliers au niveau des secr�tariats de ces commissions de recours � tant au niveau des commissions de wilaya qu�au niveau de la commission nationale de chacune de ces caisses. Le traitement de ces demandes conna�t un �norme retard, parfois de plusieurs ann�es ! Il est temps que les responsables de ces organismes � direction et administrateurs � daignent tr�s s�rieusement commencer � d�bloquer l��tude de ces milliers de demandes de recours. D�autant plus que la plupart de ces demandes ne sont pas justifi�es, et ce, par d�faut d�informations des assur�s sociaux. A quand l'insertion de ma lettre ouverte ? Lecteur assidu de votre journal, j�ai l�honneur de venir tr�s respectueusement vous demander de m�informer par le biais de votre journal (espace retraite) sur ma requ�te que j�ai adress�e � son excellence monsieur le Pr�sident de la R�publique (lettre ouverte) est arriv�e � destination. J�attends son insertion depuis le 7 ao�t 2005. Je vous prie d�agr�er, messieurs, l�expression de ma parfaite consid�ration. Salutations fraternelles. Benmansour Slimane, Rouiba REPONSE : Nous n�avons pas re�u la lettre ouverte � laquelle vous faites allusion. Nous sommes tout � fait dispos�s � la publier (pourvu qu�elle soit courte) pour peu que vous nous la fassiez parvenir. Toutes nos excuses pour ce contretemps. A l'attention de Benabdelhadi d'El-Aouinet � A�n Boucif M. Benabdelhadi Zekraoui du village d�El- Aouinet dans la da�ra d�A�n Boucif, wilaya de M�d�a a envoy� un courrier postal � l�espace retraite du Soir d�Alg�rie. Malheureusement, le contenu de ce courrier n�a pas pu �tre d�chiffr�. Nous l�invitons � nous faire parvenir une nouvelle lettre, �crite de mani�re lisible, afin de la publier et lui communiquer une r�ponse appropri�e.