Une conf�rence de presse a �t� anim�e par le P/APW dans l'apr�s-midi de samedi, au cours de laquelle il a bross� d�une mani�re exhaustive les activit�s de l'institution qu'il pr�side depuis 2002 et signal� que ce sont cette fois-ci les dossiers du foncier et de l'environnement ainsi que des expos�s relatifs aux bilans des activit�s des services de la wilaya et du secteur de la culture au cours de l'ann�e 2005 qui figureront � l'ordre du jour de la premi�re session ordinaire de l'an 2006. Il en ressort selon les d�clarations de Bourourou que depuis 2002, 17 sessions ont �t� tenues dont 4 extraordinaires, au cours desquelles 16 dossiers ont �t� d�battus, 33 d�lib�rations approuv�es dont 16 motions adress�es aux diff�rents minist�res. Parmi ces derni�res, quelques-unes ont eu un �cho favorable. L'APW a, � son actif aussi, l'�tude de plusieurs dossiers. Parmi lesquels, il conviendrait de signaler ceux ayant trait � l'habitat, l'agriculture, l'am�nagement urbain, la jeunesse et sports et l'investissement public ou priv�. Tous ces secteurs cit�s ont � peu pr�s le m�me point commun : ils buttent sur un m�me �cueil : le foncier. D�o� l'id�e de lui accorder une session ordinaire. Le maire a �galement mis l�accent sur les efforts de l'APW en g�n�ral et des �lus en particulier, toujours pr�sents dans les diff�rentes activit�s politiques et culturelles organis�es � travers le territoire de la wilaya. Le P/APW, r�pondant � une question d�un confr�re au sujet des d�veloppements li�s � l'affaire de la correspondance adress�e par le wali au minist�re de l'Int�rieur � l'issue de l'approbation du budget primitif au cours de la 4e session ordinaire qui s�est achev�e en janvier 2006 apr�s 4 jours de travaux, d�clarera : "Je n�ai rien re�u d'�crit pour l'instant." Notre interlocuteur reviendra sur les raisons qui ont incit� le wali � agir ainsi et qui demeurent li�es, selon toujours le P/APW, aux trois points de divergences qui ont divis� l'administration et la commission de l'�conomie et des finances au sujet de quelques chapitres du budget. Le point le plus �pineux demeurerait, � coup s�r, celui relatif � l'acquisition des biens immobiliers, en l'occurrence les 10 logements de la cit� Zeramna, appartenant � l'OPGI, pour un montant de 1,5 milliard de centimes. Les �lus ont demand� avant toute d�marche, de r�gulariser ce cas, car l'immeuble en compte douze logements et non pas dix. L'aspiration des �lus est toute l�gitime, tout autant qu'elle incite � poser cette question: pourquoi acqu�rir dix au lieu de douze ? Ainsi la wilaya deviendra, selon les dires du P/APW, "copropri�taire d'une b�tisse qu'elle a acquise sans que cette derni�re soit g�n�ratrice de revenus cons�quents". La commission de l'APW, charg�e d'inventorier les biens immobiliers et le patrimoine de la wilaya, a relev� que les douze logements en question ne figurent pas sur la liste ! A qui appartiennent-ils alors ? Comment se fait-il aussi que la wilaya a eu en fin de compte l'aval de la tutelle au sujet de l'acquisition des dix logements? En "justifiant" probablement cette d�marche par "r�gularisation de la situation" Y aurait-il eu, selon des supputations des uns et des autres, infraction � la r�glementation en vigueur ? La question demeure enti�re. Zaid Zoheir L�agresseur des chauffeurs de taxi appr�hend� Le sp�cialiste dans les agressions des chauffeurs de taxi ; a �t� appr�hend� r�cemment par les services de la PJ et pr�sent� devant le magistrat instructeur pour r�pondre aux chefs d�inculpation d�escroquerie , vols multiples et menace � l�arme blanche. Agissant en solo et poss�dant l�arsenal n�cessaire pour l�accomplissement de sa besogne, � savoir, poignard et bombes lacrymog�nes, l�auteur de ces d�lits a agress� quinze personnes, des chauffeurs de taxi qu�il a pris la peine d�escroquer, de voler sous la menace, en ayant recours � la bombe lacrymog�ne. Les nombreuses plaintes d�pos�es par les victimes et le signalement qui a �t� donn�, ont permis aux �l�ments de la PJ d�identifier le coupable et de proc�der a son arrestation.