Vous la connaissez parce que vous la voyez partout ; sous les tailleurs chics, sur les jeans d�contract�s ou en duo avec les jupes. Indispensable accessoire de mode, la chemise blanche est le passeport pour une �l�gance en toute simplicit�. Tr�s chic et tr�s simple : le paradoxe de l'�l�gance La chemise blanche est ind�modable ou toujours � la mode : comme vous pr�f�rez. Parce qu'elle se d�cline � l'infini : en popeline l�g�rement cintr�e, en oxford avec une coupe plus masculine, en voile de coton avec des broderies blanches et des manches 3/4, en lin avec une forme tunique et un col grand-p�re... tout en gardant toujours un cachet unique, mariant puret�, sobri�t� et �l�gance. Parce qu'elle va avec tout : - les manches retrouss�es avec un jean et une paire de ballerine pour un style d�contract� et ultraf�minin ; - avec une cravate, un grand pantalon en gabardine noire et des babies � talons pour jouer la s�duction sur un mode androgyne ; - sur une jupe tulipe souple, avec un petit cardigan de couleur vive pour une allure simple et �l�gante. Parce qu'elle est parfaite dans toutes les situations : - vous devez aller � une r�union (de travail, de parents d'�l�ves, de r�ception, etc.) et vous ne connaissez pas encore vos interlocuteurs : la chemise blanche est votre drapeau blanc. Discr�tion et sobri�t� sont de mise. - Vous avez un d�ner et vous boudez votre collection de robes : mariez votre chemise blanche avec un foulard aux couleurs chatoyantes ou avec vos plus beaux bijoux. La neutralit� de votre chemise mettra en valeur le chic de vos accessoires. - un t�te-�-t�te romantique vous attend et vous h�sitez depuis plusieurs heures devant votre armoire : simplifiez-vous la vie et enfilez une chemise blanche. Rien n'est plus seyant et s�duisant, surtout avec un beau collier et un joli sourire. Un blanc �clatant : un style impeccable Une chemise blanche, oui ! Grise d�fra�chie, non ! Pour que le charme de la chemise blanche agisse toujours, il vous faut en prendre soin et vous assurer que sa blancheur lumineuse perdure.
