Les services de s�curit�, qui poursuivent � c�est l�une de leur vocation � la lutte contre la criminalit� sous toutes ses formes, ont instruit une quarantaine d�affaires judiciaires dont 34 pour cause de d�bauche, 10 pour association de malfaiteurs, 4 autres affaires ont �t� r�solues dans le cadre, celles-l�, de l��migration clandestine coupl�es de faux et usage de faux, suivant un communiqu� de la S�ret� de wilaya dat� du 14 avril. En effet, 21 personnes parmi lesquelles 14 femmes et un propri�taire d�un local sis � la cit� des 250-Logements de Boghni, � une soixantaine de km au sud de Tizi-Ouzou, sont poursuivies sous l�inculpation de cr�ation de lieu de d�bauche au terme de leur pr�sentation devant le parquet du tribunal de Dra�-El-Mizan, territorialement comp�tent, 13 autres personnes dont 7 femmes, originaires de diverses r�gions du pays, sont poursuivies de leur c�t� pour prostitution et complicit� dans la cr�ation de lieu de d�bauche � l�issue de leur audition, le 11 du mois en cours au niveau du parquet du tribunal de Tizi-Ouzou comp�tent pour conna�tre des affaires ayant pour th��tre le territoire de la da�ra de Ma�tkas. Le nombre de placements sous mandat de d�p�t est respectivement de 21 dans l�affaire de Boghni et 5 dans celle de Ma�tkas, 6 sur les 13 ont b�n�fici� de la citation directe, les 2 restantes demeurent toujours en fuite d�apr�s la m�me source. Pour ce qui est de l�association de malfaiteurs compos�e de 10 individus accus�s de vol qualifi� et d�agression avec armes apparentes, 3 des malfrats sont sous les verrous depuis le 4 du mois en cours, les 7 autres identifi�s courent toujours en attendant de tomber dans la nasse des services de s�curit�. Il s�agirait, selon des sources citoyennes, de ceux qui se sont attaqu�s, il y a quelques mois au domicile d�un m�decin connu sur la place de Tizi et tout derni�rement � une famille de grands commer�ants tr�s estim�s par les Tizi-Ouziens. Terminons par l�immigration clandestine en signalant 2 mises en demeure de quitter le territoire national signifi�es � 2 Nig�rians accus�s de faux et usage de faux et la reconduction de 2 Camerounais � la fronti�re � l�issue de leur d�tention de 3 mois en prison sous l�inculpation d�escroquerie, d�usurpation d�identit� et de s�jour ill�gal.