Le gouverneur de la Banque d�Alg�rie, Mohamed Laksaci, a, r�cemment au Comit� international mon�taire et financier, accueilli �favorablement � les travaux en cours pour la conception d�un nouvel instrument de liquidit�s en tant qu��l�ment des efforts du Fonds mon�taire international (FMI) pour aider les pays �mergents � faire face aux risques li�s � la volatilit� du compte capital. Selon Mohamed Laksaci, afin que cet instrument puisse �tre efficace, il doit assurer l�acc�s automatique et �lev� aux ressources du FMI pour les pays �ligibles afin de compenser le besoin de constitution de niveaux inutiles de r�serves. Un accueil favorable �galement du gouverneur du rapport du comit� des �minentes personnes sur le financement viable du FMI, Mohamed Laksaci de r�affirmer sa conviction que �l�option de vente d�or permettrait de r�soudre en grande partie la question du financement du FMI�. Ceci, tout en exprimant son apposition �ferme� � ce que l�assistance technique du FMI devienne payante et, ce, selon lui, vu son importance pour l�am�lioration des capacit�s des pays en d�veloppement. Ce faisant, le gouverneur de la Banque d�Alg�rie ne voit pas le besoin pour une r�vision de la d�cision de 1977, estimant que le cadre actuel offre la n�cessaire flexibilit� pour que le FMI exerce effectivement ses responsabilit�s, concernant la surveillance. En outre, Mohamed Laksaci, s�agissant de la question des quote-parts et des voix, a exprim� le soutien de l�Alg�rie � un ensemble exhaustif de r�formes qui renforce la l�gitimit� et la cr�dibilit� du FMI � travers le renforcement substantiel de la voix et de la repr�sentation des pays en d�veloppement, conform�ment aux consensus de Monterrey.