Les �l�ments de la gendarmerie de la brigade de Zabana � Blida viennent d�arr�ter un dangereux groupe de malfaiteurs qui �cumait la r�gion de Maramane et ses environs, d�lestant les usagers de la route et les pi�tons de leurs biens. En effet, les personnes attaqu�es �taient de passage � bord de leur voiture, elles parlent d�agressions caract�ris�es avant de se voir d�lester de leur argent et tous autres objets de valeur. La derni�re agression remonte au 13 mai dernier o� un homme d�une quarantaine d�ann�es a �t� agress� par cette bande qui lui a pris tout ce qu�il poss�dait, sauf son v�hicule. C�est dire toute la psychose qui s�est install�e dans cette localit� laissant planer les folles rumeurs, notamment celles ayant trait aux faux barrages terroristes. Les gens avaient peur mais personne n�osait les d�noncer. Il a fallu que l�une des victimes, ayant reconnu un des agresseurs, d�pose une plainte pour que les gendarmes engagent d�intenses recherches. Elle sera sold�e par l�arrestation de cinq individus dont un mineur. Ils reconna�tront leur crime. Pr�sent�s samedi dernier devant le procureur de la R�publique de Blida, trois d�entre eux seront plac�s sous mandat de d�p�t et les autres ont �t� mis sous contr�le judiciaire. � noter que deux sont toujours en cavale. Leur arrestation est une affaire de jours, estiment les gendarmes. M. B. Suicide d'un p�re de famille Un p�re de famille, �g� de 40 ans, trois enfants, s�est donn� la mort, mercredi dernier, � Guerrouaou, localit� situ�e � 6 kilom�tres de Blida et ce, en ingurgitant de l�eau acidul�e utilis�e pour les batteries de voitures. Selon des informations recueillies aupr�s de l�entourage de la victime, celle-ci a pr�f�r� mettre fin � sa vie pour s��viter des probl�mes familiaux engendr�s par l�absence de logement. Ne pouvant faire face � cette difficult�, disent les voisins, la victime a quitt� son domicile en fin de journ�e de mercredi dernier pour acheter une bouteille d�eau acidul�e qu�il a bue sur le chemin du retour. A peine arriv� chez lui, il perdit connaissance sur le seuil. Transf�r� en urgence � l�h�pital de Boufarik, il rendra l��me en cours de route. Une autopsie a �t� effectu�e pour d�terminer les circonstances exactes de la mort.