Tout a commenc� quand suite � un simple contr�le de routine � El Harrach a permis de d�couvrir sur un individu des feuilles qui servent � la confection de faux billets ainsi qu�un morceau de corail. L�interrogatoire qui s�en est suivi a �galement permis de savoir que le morceau de corail en question provenait d�un m�decin qu�il a connu en prison. Ce dernier qui a �t� radi� du corps m�dical, lui a demand� de d�marcher les bijoutiers int�ress�s par ce produit. Au cours de la m�me audition, il a �t� appris qu�une grande transaction devait se faire dans la r�gion de Mostaganem. C�est ainsi que les autorisations n�cessaires ont �t� �tablies aux �l�ments de la brigade de recherche et d�investigation (BRI). Se faisant passer pour des clients � la recherche de grandes quantit�s, les policiers rencontrent sur place le m�decin qui croyant r�aliser la transaction du si�cle, fait appel � tous les �l�ments du r�seau. Il s�agit de p�cheurs ayant vers� dans le trafic de corail. Un coup de filet a �t� programm� au bout duquel 22 kg de corail ont �t� r�cup�r�s. Sachant que le kilogramme de corail est vendu � 17 millions de centimes dans le march� parall�le. Pr�sent� au parquet comp�tent, l�ensemble de ce groupe a h�rit� d�une citation directe. Le responsable ind�licat sous les verrous Un commer�ant re�oit une correspondance du directeur des �uvres universitaires de la r�gion Ouest qui l�informe de la r�siliation du contact de travail. Ce commer�ant qui a l�habitude de rationner les universit�s en pain s�en va � la rencontre de ce responsable pour de plus amples explications. Contre toutes explications, le responsable l�informe qu�un pot-de-vin de 100 millions de centimes est n�cessaire pour la reconduction de la convention. Le commer�ant prend le chemin du commissariat de police o� l�affaire est prise en charge. Une sourici�re est tondue. Le jour de la transaction, ce n�est pas le directeur qui vient au rendez- vous mais son homme de main. Equip� par les policiers d�un syst�me audiovisuel sophistiqu�, le commer�ant re�oit l�ordre de continuer dans la combine. L��missaire du directeur prend la somme d�argent et la poudre d�escampette aussi. Mais il ne savait pas qu�il �tait fil� par les policiers charg�s de l�affaire. Ce dernier est directement all� � la rencontre du responsable des �uvres universitaires. Ils seront attrap�s la main dans le sac. L�homicide solutionn� Retrouv� mort � l�avenue de l�ALN, l�employ� du port d�Alger a finalement �t� tu� par les personnes qui sont venus l�agresser. Cela s�est pass� vers 4 heures du matin. Ayant termin� sont travail, le d�funt prend sa voiture pour rejoindre son domicile. Mais ne voil� a-t-il pas qu�une crevaison de pneu l�oblige � s�arr�ter. Au moment de placer la roue de secours, il est surpris par deux individus qui veulent le d�lester de tous ses effets. Arm� de son crique, le d�funt tente de se d�fendre, mais ses assaillants r�ussissent � lui porter des coups de couteau mortels. Des t�moins qui ont suivi la sc�ne de loin guident les policiers vers les assassins. Il s�agit de SFD. Ces derniers ont �t� arr�t�s � Bab- El-Oued en possession de l�arme du crime.