Le secteur de la jeunesse et des sports enregistre ces derni�res semaines un ind�niable regain d�activit�s qui permettra d��toffer son patrimoine afin de r�pondre aux attentes l�gitimes des citoyens qui se plaignent de l�oisivet� et la malvie. Dans le cadre du programme compl�mentaire, des entreprises de travaux publics sont � pied d��uvre dans les localit�s de Tamlouka, Bouati Mahmoud et Guela�t- Bou-Sba o� elles �difient respectivement deux maisons de jeunes et un CSP, complexe sportif de proximit�. Outre le rev�tement finalis� de la salle omnisports de Oued-Zenati, l�op�ration de r�habilitation de quinze maisons de jeunes qui a exig� une enveloppe financi�re de deux milliards de centimes, enregistre un taux d�avancement de 90%. Oued-Zenati, deuxi�me localit� importante de la wilaya de Guelma a b�n�fici� d�importants projets � savoir la r�alisation d�un bassin de natation dont le taux de r�alisation avoisine les 70%, l�imminent lancement de travaux d�un stade de 6000 places, d�un co�t global de 15 milliards de centimes et l�ach�vement d�un CSP, programme 2003, qui �tait � l�arr�t suite � un glissement de terrain. Cette infrastructure sera renforc�e par un mur de sout�nement et cl�tur�e. Le chef-lieu de da�ra de Bouchegouf a �t� dot� d�une piscine semi-olympique qui a consomm� une enveloppe de 14 milliards de centimes. Selon les responsables de la DJS de la wilaya de Guelma, six terrains combin�s en matico sont en voie de finalisation � Guelma, Roknia, A�n Makhlouf, Oued-Zenati, Bouchegouf et Tamlouka. La ville de Guelma ne cesse de s'enlaidir De m�moire de Guelmi, jamais le chef-lieu de wilaya n�a atteint un tel seuil de laideur, de laisser-aller et de clochardisation. Dans un pass� r�cent, les �diles accordaient une attention particuli�re � la propret� de la ville qui respirait la joie de vivre, car aucune n�gligence n��tait tol�r�e. Les walis successifs veillaient jalousement � l�hygi�ne, � l��cologie et � la qualit� de vie des citoyens par le biais de directives d�inspections inopin�es et l�organisation r�guli�re de campagnes d�assainissements au niveau de tous les secteurs de la ville. Les actions salutaires sont d�sormais aux oubliettes puisque le maire int�rimaire d�sign� en novembre 2005 par le wali se compla�t dans l�inertie et la passivit�. Les d�potoires � ciel ouvert se multiplient au fil des mois notamment au niveau des squares, espaces verts et terrains vagues o� des enfants inconscients et innocents s�adonnent � leurs jeux favoris. La collecte des ordures m�nag�res souffre d�insuffisances puisque les rues, trottoirs, avenues, boulevards, cit�s et quartiers sont jonch�s de d�tritus et de sachets �ventr�s. La campagne de d�moustication n�est jamais entam�e au mois de mars et cette carence engendre une invasion permanente de ces insectes qui r�sistent � tous les traitements domestiques et g�chent la qualit� de vie des Guelmis. Les animaux errants prolif�rent au grand dam des citoyens souvent agress�s par des meutes de chiens. L��clairage public est manifestement insuffisant dans maints secteurs. La r�fection des trottoirs et le bitumage des rues sont d�suets, car l�environnement est d�plorable. Seul un d�clic salvateur initi� par des gestionnaires r�solus et �cologistes peut r�habiliter la ville du 8-Mai-45.