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SALLES DES F�TES � SKIKDA
La f�d�ration nationale se base sur le d�cret les g�rant
Publié dans Le Soir d'Algérie le 18 - 06 - 2008

Le rejet en bloc du d�cret 05/2005 figure toujours dans la politique pr�n�e par la F�d�ration nationale des g�rants des salles des f�tes affili�e � l�UGCAA.
Tout le monde esp�re que la demande introduite aupr�s des services comp�tents du minist�re de l�Int�rieur soit prise en consid�ration dans l�int�r�t de toutes les parties concern�es, � savoir l�Etat, les g�rants des salles des f�tes et surtout les citoyens. Le pr�sident de la section de Skikda et membre du bureau national, Hassen Bouglouf, revient � la charge et joint sa voix � celle du bureau national pour relever les contraintes contenues dans le ditd�cret. �Assimiler les salles des f�tes, qui ont une mission noble, � des bars et bo�tes de nuit est insens� �, d�clara-t-il. �Pis encore, souvent ces derniers sont mieux lotis que nous. En t�moigne, entre autres, la dur�e de l�autorisation d�exploitation fix�e � cinq ans pour les salles de divertissement, alors que pour nous (salles de spectacles) elle n�est que de deux ann�es. � Justement, il est pour le moins inadmissible d�accorder une si courte dur�e pour des investissements de quelques milliards de centimes. �On ne travaille que deux mois durant l�ann�e, ce qui rend difficile la rentabilisation souhait�e�. A relever que souvent, pas toutes bien s�r, les salles des f�tes activent de mai � d�cembre, avec une halte au mois de Ramadan, soit six mois sur douze. Allant dans le d�tail, il signale que conform�ment � l�article 06 dudit d�cret �l��ge minimum de l�exploitant et de l�employ� des salles de divertissement est respectivement de 25 et 18 ans. Par contre, pour les salles de divertissement, ces deux cat�gories de personnel cit�es se sont vu exiger 30 et 25 ans�. D�autre part, une �confusion� relev�e dans l�article 02 du d�cret d�application m�rite �claircissement : �On doit nous pr�ciser de quel certificat de conformit� parle-t-on ? Celui de la b�tisse ou de l�activit� elle-m�me ? Nous, nous souhaitons le certificat de conformit� de l�activit�.� Se voulant r�confortant, il recommande aux g�rants des salles des f�tes de �se conformer � l�actuelle r�glementation en attendant que les services comp�tents du minist�re de l�Int�rieur r�pondent favorablement � notre demande d�abrogation du d�cret�. Le pr�sident de la section de Skikda touche ici du doigt un point d�une extr�me importance, � savoir l�obligation faite pour les g�rants des salles des f�tes d�assumer leurs responsabilit�s envers l�Etat, la salle et les clients. Vis-�-vis de ces derniers, et pour reprendre les termes d�un client, �les g�rants n�ont pas le droit de superviser nos moindres gestes durant la f�te ; � v�rifier que nous n�avions pas cass� les tables et les chaises et d�pass� la consommation �lectrique ; � nous contraindre poliment de leur r�server leurs parts du d�ner ; � faire les cent pas avec nos invit�s, hommes et femmes�� Pourtant, en plus du montant de la location, les g�rants encaissent � titre de consigne 5 000 DA minimum, remboursables dans le cas ou aucun d�g�t mat�riel n�a �t� enregistr�. Il est exig� aussi que les g�rants respectent les horaires de fermeture aux fins de respecter le citoyen, �quoiqu�on doive, dans ce contexte, prendre en consid�ration un peu les sp�cificit�s de chaque r�gion, Skikda n�est pas l�Oranie�, rectifie Bouglouf. Plaider pour une implantation des salles des f�tes dans des centres commerciaux et loin du tissu urbain semble appropri�. Une distanciation qui prend en compte bien s�r l�aspect s�curitaire. Le r�le des commissions demeure aussi primordial pour contr�ler le moindre d�passement r�glementaire, mais �le mieux c�est qu�elle d�cide sur place, soit sur les lieux du constat�. Pour faire mieux, ces derni�res devraient renforcer par deux �l�ments contextuels qui ne sont pas des moindres, � savoir un repr�sentant des salles des f�tes et un repr�sentant du comit� des quartiers ; les contestations citoyennes succ�dant aux soir�es festives pourraient conna�tre leur �pilogue. L�isolation sonore est un sujet qui f�che. Les salles des f�tes doivent en �tre dot�es. Certes, les d�cibels �manant des mariages dans les cit�s ou les groupements scolaires ainsi que des transports en commun sont encore plus d�rangeants. Pourtant, personne ne r�clame ! Sur le plan de la moralit�, notre interlocuteur ira jusqu'� proposer de s�lectionner les chansons douces qui cadrent avec nos us et coutumes. Par ailleurs, les g�rants doivent investir un peu aux fins d�am�liorer les aspects externe et interne de leurs propri�t�s dans le but de garantir le confort aux citoyens. Car � la r�flexion, et pour ne prendre que le cas de Skikda, la plupart des salles semblent s�accommoder d�un statu quo architectural et logistique r�voltant, et ce, depuis des ann�es. Le mariage � l�alg�roise est une id�e qui peut trouver preneur � Skikda. �Pourquoi pas un mariage l�apr�s-midi, fait de g�teaux et de boissons comme � Alger ?� propose le pr�sident de la section de Skikda. ��a permettra ainsi l�organisation de deux f�tes quotidiennement et la r�vision � la hausse des tarifs de location�, encha�ne-t-il. En dernier lieu, le pr�sident de la section de Skikda lance un appel aux instances nationales de proc�der � l�ouverture des salles des f�tes ferm�es � travers le territoire national. Il y a lieu de souligner que Skikda compte 15 salles des f�tes, la derni�re ayant re�u son agr�ment est situ�e dans la commune de Filfila, un mod�le du genre !

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