Le spectre de l�effondrement plane toujours sur le vieux b�ti au centre-ville. Dans la nuit de mardi, vers 22 h 15, Skikda en a enregistr� un �ni�me au 4, rue Joinville, dans la b�tisse en face de la polyclinique de Houmet Ettaliene, patrimoine de l�OPGI. Selon le t�moignage des locataires, l�incident a provoqu� l�affaissement du plancher de la b�tisse o� vivent 4 familles depuis les ann�es 1970. Heureusement, on ne d�plore aucune victime. Le d�placement des autorit�s comp�tentes, le P/APC et les �l�ments de la Protection civile pr�cis�ment, a �t� constat� imm�diatement suite � l�alerte des citoyens. Comme de coutume, l�entraide citoyenne a permis de d�gager l�acc�s � l�immeuble. Le constat du CTC sera �labor� la semaine prochaine, � compter de ce samedi pr�cis�ment. Encore une fois, la menace de ruine et l�imp�ratif d��vacuer les habitants seront les deux recommandations des experts. Pourtant, les autorit�s comp�tentes sont en possession d�un rapport global �tabli il y a quelques ann�es concernant le quartier napolitain dont fait partie cette b�tisse. A nos jours, le transfert des habitants vers la cit� de Zeramna a �t� partiel. Actuellement, et pour reprendre les propos des habitants, la seule mesure propos�e est d��vacuer les quatre familles vers le camp de toiles de la station baln�aire de Larbi Ben M�hidi, � 13 km du chef-lieu de wilaya. Les locataires ont refus�. Le danger persiste. Za�d Zoheir ANGEM Sensibilisation � Larbi Ben M�hidi Une action de sensibilisation et de vulgarisation a �t� initi�e, jeudi matin, en direction des estivants de la c�te de Larbi Ben M�hidi, � 13 km du chef-lieu de wilaya, par l�Agence nationale de gestion du micro-cr�dit (l�Angem) de Skikda. Elle a �t� principalement men�e par le directeur de l�Angem, Karim Draoui, avec deux accompagnateurs de la da�ra de Skikda. L�op�ration a consist� en la distribution d�une centaine de d�pliants mettant en relief les trois formules de financement pour l�octroi de cr�dits et les proc�dures et m�canismes d�acc�s. Le choix du lieu est motiv� par la forte concentration du public, alors que celui du temps est li� � l�infl�chissement du nombre de demandes durant la p�riode juillet-ao�t, selon les explications du directeur. Par ailleurs, l�approche de la rentr�e sociale incite � mieux l�appr�hender en ambitionnant de �rentabiliser� le bilan de l�agence fonctionnelle depuis 2005. D�autre part, le volet proximit� s�est toujours vu accorder un int�r�t particulier dans la m�thode de travail de l�Angem. Sous la houlette du directeur, les accompagnateurs des 13 da�ras que compte la wilaya ont p�riodiquement initi� des actions de sensibilisation et de vulgarisation du dispositif aupr�s des populations concern�es. Le v�hicule de service de l�agence a sillonn� les 38 communes de Skikda, du massif de Collo jusqu�� la Marsa. A titre d�information aussi, des 1 879 b�n�ficiaires de locaux � usage artisanal et professionnel r�alis�s dans l�ensemble des communes de la wilaya, 1 079 sont des d�tenteurs de cr�dits Angem.