Faisant suite � votre article paru le 6 octobre 2008 dans votre quotidien au Periscoop et intitul� �Le Comit� olympique alg�rien perd son calme�, j�ai l�honneur de vous demander de bien vouloir ins�rer, aux m�mes lieu et place, la mise au point suivante : �Je vous saurais gr� de prendre acte que les affirmations dont vous faites �tat n�ont aucun lien avec le Comit� olympique alg�rien en raison de faits ayant eu lieu en d�cembre 2004 comme vous l�avez si bien pr�cis� et que notre organisation n�a pris possession de ces lieux que le 14 juillet 2005. La publication de documents dans ces m�mes colonnes est d�autant plus �tonnante que ceux-ci n�ont aucun rapport avec le Comit� olympique alg�rien qui n�en est ni destinataire, ni inscrit en copie et encore moins concern� de pr�s ou de loin par cette regrettable affaire de 2004 survenue dans le Centre de Tikjda qui �tait g�r� par la structure publique en charge de son administration et de son fonctionnement. L��quipe d�athl�tisme que vous mettez �galement en cause n��tait qu'un simple client qui a subi les affres d�une situation d�sastreuse, comme mentionn� dans le document officiel que vous avez fait para�tre. Nous sommes tout aussi surpris d��tre sollicit�s par votre journal pour lui produire des factures et des appels d�offres. Le Comit� olympique alg�rien, de par sa nature juridique, de par ses statuts et de par les lois en vigueur en Alg�rie, n�est pas soumis aux proc�dures dont vous faites �tat et n�est pas oblig� de produire ses documents au contr�le du Soir d�Alg�rie. Il reste, toutefois, important de relever que les bilans moraux et financiers 2005, 2006 et 2007 ont �t� approuv�s par son assembl�e g�n�rale, � l�unanimit�, et ont fait l�objet d�un commissariat aux comptes conform�ment � la r�glementation. Nous regrettons, une nouvelle fois, votre volont� manifeste de nuire � l�image de marque du Comit� olympique alg�rien par des diffamations graves pour lesquelles nous nous r�servons le droit de faire appel � la justice alg�rienne. Notre organisation, en fait, ne saurait en aucun cas �tre alt�r�e ou d�cri�e tant son cr�dit aupr�s de l�opinion publique est largement �tabli et nos convictions n�en seront que plus renforc�es�. Le Pr�sident du COA, Mustapha Berraf R�ponse � la mise au point de Berraf M. Berraf a d�clar� le 6 mars 2006 � notre confr�re El Watan,au sujet de la fermeture par le ministre Guidoum du b�timent de Tikjda, g�r� par le COA, ce qui suit : �Notre structure n�a jamais �t� associ�e � cette d�cision et nous sommes d�sol�s pour l�arr�t de la pr�paration des �quipes nationales qui se sont plaintes de l�entreprise sous tutelle qui n�a pas honor� ses engagements et non du COA qui les a h�berg�es pendant plus d�une ann�e en leur offrant toutes les conditions.� Si nous ne retenons qu�une ann�e donc, le Comit� olympique g�rait ce centre au moins depuis mars 2005, or Berraf affirme que le Comit� olympique n�a pris possession des lieux que le 14 juillet 2005. Si cela ne suffit pas comme exemple flagrant de l�amalgame entretenu autour de la r�ception officielle du b�timent le 14 juillet 2005 et son utilisation courante bien avant cette date, on pourra remonter encore en lui fournissant � chaque fois les preuves tangibles. Pour ce qui est des factures, sachez, Monsieur Berraf, que ce n�est pas le Soir d�Alg�riequi les demande mais une institution de la R�publique alg�rienne, en l�occurrence le MJS. Ce dernier a institu� une commission par d�cision n � 057/MJS/2007 du 8 avril 2007 charg�e d��tablir l'inventaire des biens meubles et immeubles du b�timent �E� mis � la disposition du COA par convention du 17 avril 2004 (eh oui, Monsieur Berraf, le 17 avril 2004, soit 8 mois avant l�intoxication alimentaire). Votre secr�taire g�n�ral, M. Na�dji Mohamed, si�geait au sein de cette commission. Cette derni�re s�est r�unie le 16 avril 2007 et ses membres ont pris un certain nombre de d�cisions, notamment �la remise de documents justifiant les d�penses relatives aux travaux effectu�s par le COA au niveau du b�timent mis � sa disposition�, comme il est �crit dans le proc�s- verbal de cette commission. Maintenant vous laissez croire dans votre r�ponse que le COA n�est pas tenu par la m�me r�glementation en mati�re de d�penses que les autres organismes. Vous voulez dire que vous n'�tes pas tenu par les