C�est le grand cirque au sein de la famille de la petite reine. Non content des �crevaisons � qui sont l�gion en termes de performance sportive, les responsables de cette discipline, qui a connu ses heures de gloire, avant mais aussi apr�s l�Ind�pendance, versent dans le ridicule en multipliant les crocs-en-jambe et autres artifices de mauvais aloi. C�est le sc�nario du feuilleton interminable auquel sont invit�s les membres de la ligue d�Alger de cyclisme depuis voil� un an, exactement depuis le 25 octobre 2007, et cette assembl�e g�n�rale de la LAC qui avait d�cid� de retirer sa confiance � Belkacem Agueni dont les bilans ont �t� rejet�s. Un an apr�s, et apr�s de nombreux recours introduits au niveau des structures nationales du sport (DJSL et MJS), les membres de l�AG semblent tout retourn�s de la tournure voulue par la f�d�ration de Nacereddine Naidji, secr�taire g�n�ral du COA, et ses relais. En effet, il a �t� d�cid� de �r�parer l�injustice� qui avait co�t� � Agueni son poste de pr�sident de la LAC. Comment ? En convoquant pour ce jeudi 20 novembre une nouvelle AG ordinaire (tenez-vous bien) de la saison sportive 2007-2008, exercice qui a vu le gel par la FAC de toutes les activit�s de la ligue d�Alger ! Ce � quoi le pr�sident de la commission charg�e des pr�paratifs des �lections, Brahim Mansouri a r�pondu par la n�gative. Lors d�une r�union tenue dimanche au si�ge de la DJSL, structure repr�sent�e par son S/G et son chef de service des sports, les clubs affili�s � la LAC ont rejet� la proposition faite par la DJSL consistant � accepter les bilans de la LAC (2006-2007) que l�AG du 25 octobre 2007 avait rejet�s sans oublier de r�habiliter le pr�sident et son bureau d�chus � la m�me date. Une proposition qui devait, selon ses concepteurs, pr�sider � la r�gularisation et l�assainissement de la situation pr�valant au niveau de la LAC du simple fait que la f�d�ration de M. Naidji ait perdu, en la personne de M. Agueni, le contr�le sur la plus importante de ses structures de base. La convocation de cette AGO-bis ne saurait poser des probl�mes si un travail de coulisses n�avait pas �t� effectu� depuis quelque temps consistant � discr�diter les chefs de file de ce mouvement de changement, dont le tort est d�avoir men� une guerre sans merci aux fossoyeurs de la petite reine.