Lanc� il y a quelque temps d�j� � travers les diff�rents �tablissements sanitaires de la wilaya, le programme de formation continue pr�vu pour l�ann�e 2009 comporte en fait une vari�t� de th�mes n�cessitant une meilleure vulgarisation. C�est du moins ce que nous a d�clar� M. Larbi Sekkine, cadre � la DSP de Tiaret, charg� de l�application et du suivi dudit programme. En effet, apr�s l�EPH de Mahdia qui a abrit� dimanche dernier une rencontre-d�bat sur les �Maladies respiratoires�, suivie le lendemain des �Affections cardiovasculaires et AVC�, � Sougueur, c�est au tour des autres h�pitaux de la wilaya de vivre la m�me ambiance de d�bats. Ainsi, samedi, l�EPH de Ksar Chellala aura � abriter une rencontre sur l�hygi�ne hospitali�re, destin�e principalement au personnel des services d�h�modialyse et des centres de transfusion sanguine. La m�me structure sanitaire devrait d�battre dans la m�me journ�e des questions li�es � la maintenance des �quipements m�dicaux, l�une des probl�matiques � laquelle sont constamment confront�s les h�pitaux. A Frenda, en revanche, le th�me pr�vu le lendemain s�intitule �Le diab�te et le goitre�. S�agissant de l��tablissement hospitalier sp�cialis� en ORL, stomatoophtalmologie de Tiaret, celui-ci devrait accueillir une journ�e int�ressante sur les complications du diab�te sur l��il les 26-27 mai prochains. Parall�lement � cette activit� scientifique, le m�me �tablissement constituera le p�le d�une journ�e portes ouvertes sur �La chirurgie dentaire�. Cela dit, les autres th�mes choisis pour la circonstance s�articuleront autour des �Urgences psychiatriques� et celles du nouveau-n�. L�on saura enfin que le mois de juin sera consacr� essentiellement aux maladies tels la brucellose, les MTH, la leishmaniose cutan�e, l�envenimation scorpionique et les accidents domestiques. Celles-ci auront lieu � travers l�ensemble des �tablissements publics de sant� de proximit�. Mourad Benameur Les habitants du �terrain Boumediene� ignor�s Les habitants de la coop�rative Ibn Badis 2, relevant du quartier dit �terrain Boumediene� � Tiaret, se disent l�s�s de ne pas b�n�ficier des op�rations engag�es au titre du programme de l�am�lioration urbaine qui a d�j� cibl� plusieurs cit�s. L��tat d�fectueux, voire impraticable du r�seau routier, constitue un v�ritable casse-t�te aussi bien pour les pi�tons que pour les automobilistes, a-t-on constat� sur place. Cette situation est durement ressentie durant l�hiver du fait de la boue et de la stagnation des eaux de pluie, o� il devient tr�s difficile pour eux de rejoindre leurs domiciles. �Toutes nos tentatives de contact avec les organismes concern�s, plus particuli�rement la DUC et l�APC pour rem�dier � cette carence, se sont av�r�es jusque-l� vaines�, nous dira B. A., un r�sidant du quartier depuis plus de 15 ans. Ce dernier a tenu � pr�ciser que les habitants ont pris en charge l��clairage, mais misent grand sur l'intervention des autorit�s pour �inclure notre lotissement au titre des op�rations de r�habilitation�. M. B. On agresse � la rue� Hamdi-El-Ghali La rue Hamdi-El-Ghali, situ�e non loin du �village espagnol�, au c�ur m�me de Tiaret, est, depuis quelque temps, le th��tre d�une s�rie d�agressions sous le regard parfois �blas� des passants. Avant-hier d�j�, une jeune universitaire de 21 ans a failli payer cher son passage dans cette rue, n��tait l�intervention d�un jeune commer�ant �courageux� qui s�est interpos� in extremis, pour la sauver des griffes de trois malfrats. Ces derniers, qui s�appr�taient � la d�lester de son portable et de ses bijoux, ont pris la fuite. Ce m�me �sauveur�, qui n�en est pas � son premier geste de bravoure, nous dira que les services de s�curit� neutralisent tr�s souvent des malfrats et autres voleurs � la tire, mais le climat d�ins�curit� continue � planer dans les parages comme dans d�autres art�res de la ville o� des actes de ce genre sont fr�quemment enregistr�s. Ce ph�nom�ne, qui est aussi signal� dans beaucoup d�endroits de la ville, tel � proximit� de l�auberge de jeunesse, requiert �galement la mobilisation du citoyen aux c�t�s des services de s�curit�, nous a soulign� un policier.