La justice a derni�rement gel� les travaux du projet d�installation d�une antenne de t�l�phonie mobile � proximit� du CCI (centre de chirurgie infantile) du CHU de Sidi-Bel-Abb�s, suite au r�f�r� introduit il y a moins d�un mois aupr�s du tribunal de Sidi-Bel- Abb�s par le CHU Hassani- Abdelkader. La mesure est provisoire en attendant que la justice statue sur le fond de cette affaire qui oppose l�op�rateur de t�l�phonie mobile Mobilis et le CHU de Sidi-Bel-Abb�s. Ce dernier avait, rappelons-le, refus� qu�une antenne de t�l�phonie mobile soit �rig�e � proximit� d�un service aussi sensible que celui de la CCI dont les �quipements �lectroniques du bloc op�ratoire pourraient, selon nos sources, subir des interf�rences sans oublier le risque �ventuel de l�exposition au champ �lectromagn�tique des malades et du personnel. Cette antenne devait �tre install�e � moins de 600 m de la CCI, distance que le CHU avait fortement contest�e. Les travaux avaient �t� entam�s en novembre dernier, suscitant la contestation de la direction du CHU qui avait aussit�t saisi les autorit�s locales, sans grand succ�s, afin d�arr�ter les travaux. Devant cet �tat de fait, le CHU a introduit un r�f�r� pour geler le projet, alors qu�une plainte a �t� d�pos�e aupr�s du tribunal de Sidi-Bel-Abb�s pour d�localiser l�antenne. Le discorde entre le CHU et l�op�rateur ne conna�tra de d�nouement que lorsque l�antenne aura chang� de lieu, nous ont confi� nos sources. Le tribunal de Sidi- Bel-Abb�s, pour la premi�re fois dans l�histoire de la t�l�phonie mobile en Alg�rie, aura � trancher un sujet aussi �pineux, et surtout in�dit, alors qu�� l��tranger des affaires de ce genre sont monnaie courante. A.M. Le chef de service de la Drag et un interm�diaire sous mandat de d�p�t Un chef de service de la Drag de la wilaya de Sidi Bel-Abb�s et une autre personne ayant fait l�interm�diaire entre le premier cit� et le g�rant d�une salle des f�tes ont �t� plac�s sous mandat de d�p�t lundi dernier. Le chef de service est accus� d'avoir imit� la signature du directeur pour autoriser le g�rant de la salle qui a fait l�objet d�une fermeture � proc�der � la r�ouverture apr�s que la commission eut d�cid� lors d�une pr�c�dente r�union sa fermeture.