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MALGR� TOUTES LES MESURES PRISES PAR LES BOUQUETS
Les pirates ne d�sarment pas Par Ma�mar FARAH
Publié dans Le Soir d'Algérie le 13 - 03 - 2010

Derni�re bataille de Canal+/Canalsat sur le front du piratage : une action multiforme contre les hackers qui continuent de violer le syst�me Viaccess malgr� toutes les mesures prises pour le prot�ger. En effet, gr�ce � des cartes appel�es Omnia et Mill�nium, la version du bouquet en Viaccess continue � �tre pirat�e. Ces cartes circulent actuellement en Alg�rie et en Espagne.
Mais selon certaines informations, �ce piratage ne sera que de courte dur�e puisque les ing�nieurs de Canal + se sont rapproch�s de la filiale de France T�l�com (propri�taire de Viaccess) et sont d�j� en action pour mettre un terme � ces actions d�lictueuses�. (Chrisat) En effet, les cha�nes de Canal + ne sont plus capt�es par les pirates utilisant ces cartes, sauf Canal + Sport et Sport +. Quant aux cha�nes de Canalsat, elles ont disparu des �crans pirates apr�s quelques jours de �survie�. Mais Canal+ n�est pas le seul bouquet concern� par ces attaques. Il y a �galement BIS-TV, ART et Al- Jazeera Sports. Cependant, tous ces bouquets ont �t� prot�g�s par les d�veloppements du Viaccess qui, apr�s ses versions 2 et 2.6 fortement attaqu�es, s�est dot� d�une version pr�sent�e comme inviolable : le Viaccess 3. Mais apr�s une longue p�riode de je�n, les pirates retrouvent leur app�tit en r�ussissant � craquer ce fameux Viaccess 3. Premi�res victimes : ABsat-Bis TV, Sex-View, SCT, Free-X et le bouquet suisse SSR (tous sur Hot Bird). Les firmwares de nombreux r�cepteurs sont disponibles sur Internet. Les premiers d�modulateurs concern�es sont : QboxHD, Ferguson Ariva et le samsung DSR7000/9500. Mais avec un nouveau module du nom de Inopsys (en fait, un ancien Diablo), les autres mod�les �quip�s d�emplacements PCMCIA pourront ouvrir ces bouquets.
Le Viaccess 4.0 et l�option HD
Les bouquets concern�s agissent dans le d�sordre : certains changent les cartes d�abonnement, mais de telles op�rations prennent du temps et demandent beaucoup d�argent. D�autres sautent le pas et passent au Viacess PC 4.0, mais l� aussi, il faut changer les cartes officielles. Leur objectif : donner acc�s � une option HD. Mais les abonn�s accepteront-ils sans broncher les surco�ts ? En fait, des bouquets comme BIS-TV penseraient � prendre en charge ce surplus pour attirer davantage d�abonn�s vers le changement. Mais ces cartes ne sont pas les seules armes des pirates. Comme les syst�mes de cryptage sont sans cesse prot�g�s, les �hackers� se sont tourn�s vers le �sharing�. Derri�re ce mot, se cache toute une organisation dont les ramifications remontent vers de nombreux pays europ�ens. Sharing d�signe le partage sur le r�seau Internet de cartes officielles via des serveurs dont l�immense majorit� se trouve en Europe, bien que l�on signale leur existence aussi en Asie et m�me au Maghreb. L�astuce est simple : les pirates ach�tent les cartes officielles des grands bouquets officiels. Ensuite, utilisant un syst�me de partage comme celui que l�on utilise pour diffuser le signal d�crypt� sur plusieurs �crans dans une maison, ils �partagent� la carte � travers Internet vers d�innombrables b�n�ficiaires. Mais ils ne le font pas gratuitement ! Les utilisateurs doivent payer un abonnement mensuel (1 000 � 1 500 DA en Alg�rie). Le piratage s�organise � grande �chelle. Mais attention, cet un acte d�lictueux dans de nombreux pays d�Europe au regard de la loi et si les chefs de ces r�seaux sont d�couverts, la justice pourra poursuivre m�me le gars qui s�abonne et qui regarde les programmes d�crypt�s ! Comment ? L�informatique permet le piratage mais elle laisse des traces : on retrouvera facilement l�IP (adresse personnelle sur le r�seau) de chaque abonn� au sharing ! Priez pour qu�une telle loi ne d�barque pas chez nous !
La Dreambox m�ne� en prison
Voici d�ailleurs une information qui doit faire r�fl�chir beaucoup de partisans du sharing. L�histoire se passe dans la ville scandinave de Helsingborg. Un commer�ant, propri�taire d�un magasin de vente de mat�riel satellite, a d�cid� un beau jour de gagner de l�argent en devenant un �vendeur� de signal d�crypt� permettant de capter de nombreuses cha�nes nordiques payantes. Il s��quipe d�un serveur et ach�te les cartes d�abonnement officielles. Aux clients qui viennent pour s�abonner � l�un des bouquets ou acheter un d�codeur, il propose un march� juteux : pour beaucoup moins cher, ils peuvent voir toutes leurs cha�nes gratuitement, en restant tranquillement chez eux. Ils utiliseront pour cela le r�seau et l�un des ces r�cepteurs miracles �quip�s pour recevoir Internet ! Mais les murs ont des oreilles et ce commerce illicite sera d�couvert par la police. Le commer�ant est traduit devant le tribunal p�nal pour criminalit� globale, �conomique et financi�re. La police a d�couvert dans son magasin un serveur reli� � 1 000 clients. Conna�tre leurs adresses IP �tait un jeu d�enfant ! Ils seront tous convoqu�s par la justice et paieront beaucoup plus cher le fait d�avoir voulu rouler CanalDigital et Viasat. L�homme a �t� inculp� pour partage ill�gal d�abonnements, mais �galement pour violation des lois comptables et fraude grave � l�imp�t. Il a �t� condamn� � un an de prison ferme et � indemniser Canal Digital � pr�s de 6 millions d�euros. Voil� qui fera r�fl�chir les �ventuels candidats � l�organisation du sharing � partir de leurs boutiques.
Huit paraboles, des ordinateurs et 5 Isra�liens
Une autre affaire qui montre que les autorit�s ne restent pas les bras crois�s devant l�ampleur du ph�nom�ne. Cinq personnes ont �t� plac�es en d�tention provisoire pendant sept jours par le tribunal de district de Larnaca, dans le cadre des accusations de vol de la propri�t� intellectuelle en utilisant des dispositifs �lectroniques. Arm�s d�un mandat de perquisition, la police a perquisitionn� une maison � Oroklini ce jeudi aux alentours de 11h, o� elle a trouv� huit satellites positionn�s � l�ext�rieur du b�timent et cinq Isra�liens � l�int�rieur qui auraient travaill� sur leurs ordinateurs. La police croit que les cinq Isra�liens sont impliqu�s dans le streaming ill�gal et la transmission de diverses cha�nes par abonnement via satellite � d�autres personnes qui poss�dent une Dreambox, ainsi que de fournir des services de jeux �lectroniques. Le porte-parole de la police de Larnaca, Christos Andreou, a d�clar� avoir agi sur les informations re�ues. �Lorsque la pr�sence polici�re a �t� not�e, deux personnes ont tent� d�entraver l�enqu�te, ce qui entra�ne leur arrestation. Un grand nombre d�articles ont �t� consid�r�s comme des preuves, notamment des d�codeurs, des documents et des ordinateurs, qui seront examin�s�, dit Andreou. �On estime que ces personnes sont impliqu�es dans des actions ill�gales et la transmission en continu des cha�nes � p�age par satellite pour diverses autres personnes, en plus d�offrir ses services � des jeux �lectroniques�, a-t-il ajout�. Selon le porte-parole de la police, les cinq ont ni� toute implication dans les d�lits dont ils sont inculp�s et ont donn� les raisons de leur pr�sence � la maison, sur lesquelles se penchera la police. (Source Chypre Info) Par ailleurs, 3 autres personnes (deux Grecs et un Syrien) ont �t� interpell�es en Gr�ce et accus�es de blanchiment d�argent. L�enqu�te a r�v�l� que les deux exploitants commer�aient ill�galement des programmes payants par satellite via un serveur bas� en Cor�e du Sud desservant des Dreambox par Internet et via la r�ception par satellite (pour les signaux TV). Le nombre de clients connect�s est estim� � 30 000 et sont susceptibles d��tre poursuivies pour recel, selon les services de s�curit� d�Attica. Les Dreambox, cartes (dont des abonnements � Nova) et ordinateurs ont �t� saisis et les trois hommes interpell�s ont �t� pr�sent�s au procureur. Il semble qu�elles avaient choisi de placer les serveurs en Cor�e du Sud parce qu�ils sont difficilement trouvables. (source Katymerini)
Cascade de proc�s contre Dreambox
L�un des d�modulateurs r�volutionnaires qui a ouvert au sharing de larges perspectives est le Dreambox (voir nos pr�c�dentes �ditions). Les op�rateurs satellite, les firmes de d�veloppement de syst�mes de cryptage et les bouquets ont, � plusieurs reprises, attaqu� en justice la soci�t� allemande Dreambox. R�cemment encore, le tribunal de Dusserdorf �tait appel� � trancher dans une affaire opposant la firme Kudelski, propri�taire des syst�mes Nagravision et Mediaguard/seca au fabricant de Dreambox. Sentence : la soci�t� Dream-Multimedia a re�u �une injonction pr�liminaire de ne plus fournir les DS-100 avec le firmware DM100S_MAIN_V213.BIN sous peine d�amendes jusqu�� 250 000 euros et/ou 6 mois d�emprisonnement. Le fabricant allemand a toujours le droit de faire appel � cette injonction.� (Chrisat) Dans un interview accord� au magazine allemand Infosat, le P-dg Alpaslan Karasu d�clare qu�il a sign� un accord de collaboration, au niveau mondial, avec ebay en vue de pourchasser la vente d�appareils Dreambox clon�s, vu que le probl�me s�intensifie. Ainsi, il a pu d�j� faire condamner en Pologne un distributeur � une peine de 2 ans avec surcis et en Allemagne � plusieurs avertissements. En Grande-Bretagne et en Suisse, deux proc�s sont en cours d�ex�cution contre les principaux importateurs. La plupart de ces clones sont fabriqu�s en Asie.
M. F.
Les syst�mes de cryptage
Pour pouvoir contr�ler l�acc�s � une cha�ne, des soci�t�s ont mis au point des syst�mes de cryptage. Le Mediaguard, initiallement d�velopp� par la SECA (Soci�t� europ�enne de contr�le d�acc�s, soci�t� commune entre Canal+ et Bertelsmann). Canal+ a, ensuite, rachet� les parts de Bertelsmann et a cr�� Canal+ Technolgies. Fin septembre 2002, Thomson rach�te les parts de Canal+ (89 %) est devient le premier actionnaire avec 92 % du capital.
Le Viaccess, version num�rique de l�Eurocrypt, est d�velopp� par France T�l�com.
L�Irdeto, mis au point par Nethold avant son rachat par Canal+, est maintenant d�velopp� par Mindport.
Le Nagravision est d�velopp� par la soci�t� suisse Nagra- Kudelski, tandis que le Conax, par Telenor.
Le Videoguard d�velopp� par NDS, soci�t� filiale de NewsCorp appartenant � Rupert Murdoch.
Le BetaCrypt, d�velopp� par BetaResearch (soci�t� du groupe Kirch), pour remplacer l�Irdeto dans le bouquet Premiere
World (bouquet issu de la fusion de Premiere et DF1).
Le Cryptoworks a �t� mis au point par Philips.
Le PowerVu mis au point par Scientific Atlanta, qui est surtout utilis� pour les diffusions professionnelles.
PIRATES-OP�RATEURS
Le jeu du chat et de la souris
Le piratage est une menace s�rieuse pour l�avenir de la t�l�vision num�rique. Parce qu�elle engrange de gros profits, cette activit� ill�gale trouve un terrain de pr�dilection dans les pays m�diterran�ens parfaitement arros�s par les grands satellites europ�ens. Sur la rive Sud, qui n�est pas concern�e par la commercialisation officielle des bouquets nationaux europ�ens, les cartes pirates et les CAM de plus en plus perfectionn�es qui les font fonctionner se vendent au grand jour. Actuellement, c�est la grande vogue des modules qui remplacent les cartes, ces CAM se mettant automatiquement � jour et fonctionnant � la fois comme lecteur et comme carte de d�cryptage ! Cela est d�j� valable pour certains syst�mes. Mais, il ne faut pas croire que cette activit� se limite au Sud de la M�diterran� ; il est prouv� aujourd�hui que les grands r�seaux qui alimentent le Maghreb partent des pays europ�ens eux-m�mes et il serait na�f de croire que tout le mat�riel ill�gal est embarqu� vers le Sud : une bonne partie reste en Europe et d�ailleurs les derniers affaires de d�couvertes de r�seaux de piraterie en France et ailleurs le prouve. Pourtant, lorsque la t�l�vision satellitaire saute le pas et passe au num�rique, des �experts� avaient pr�dit la fin du piratage, arguant du fait que l�analogique pr�sentait trop de faiblesses devant les assauts r�p�t�s des hackers. Tout le monde garde en m�moire les d�boires du Discret, remplac� par le Nagravision qui ne tarda pas �galement � �tre �viol� � son tour. C��tait le syst�me des d�codeurs pirates, bo�tiers de la taille d�une K7 VHS qui permettait d�obtenir une image moyenne avec un son parfois tr�s perturb�, mais cela faisait les affaires des consommateurs maghr�bins qui pouvaient s�offrir Canal + et les quelques cha�nes analogiques de Canal Satellite qui �mettaient � travers T�l�com 2A (8 degr�s Ouest). Pourtant, les m�saventures du D2 Mac auraient pu attirer l�attention de ces �experts�, car ce syst�me qui connaissait d�j� des d�boires commerciaux dus aux mauvais choix strat�giques des politiques fran�ais (exemple de TDF), �tait en quelque sorte une �tape importante avant le num�rique puisque le traitement audio se rapprochait des conditions du num�rique alors que sur le plan de la vid�o, il offrait d�j� le 16/9 eme et �tait consid�r� comme le meilleur moyen d�arriver � la t�l�vision Haute D�finition. Les premi�res cartes pirates D2 Mac ouvraient d�ailleurs Canal+ et certaines cha�nes scandinaves. Lorsque Internet d�colle � travers le monde entier, les pirates comprirent tr�s vite que c��tait l� le meilleur moyen de faire passer les messages et les codes, tout en �tant assur�s d�un anonymat total et d�un moyen de propagation hors du commun. Les sites offrant cl�s de d�codage et plans de montage de programmeurs se d�velopp�rent tr�s rapidement. Mais les sp�cialistes nous disaient qu�il ne fallait pas faire attention � tout cela car, le passage au num�rique allait renvoyer les hackers � leurs classes ! Et pourtant, les choses se pass�rent autrement. Et le premier syst�me qui vola en �clats fut l'Irdeto, norme utilis�e � l��poque par l'Allemagne, l'Italie et certains pays europ�ens. Depuis, ce fut tour � tour le Viacess, le Seca et j�en passe qui furent pris comme cibles par des pirates de mieux en mieux �quip�s. L�information avait d�abord circul� en Allemagne : le num�rique qui devait mettre un terme aux cauchemars des diffuseurs hant�s par le souvenir des cartes pirates de l��re analogique, a �t� pirat� d�s sa naissance. L� o� les scientifiques et les techniciens se mobilisent pour cr�er des syst�mes, d�autres scientifiques et techniciens peuvent en faire de m�me, mais pour d�truire le syst�me ! Le jeu du chat et de la souris avait commenc� : attaques, contre-attaques, attaques, contre-attaques, etc. Voici l�explication fournie par un sp�cialiste alg�rien : �Le principal probl�me est que la carte pirate peut fonctionner un, deux ou trois mois. Mais, d�s que le diffuseur, qui re�oit r�guli�rement des r�clamations des clients, transmet de nouvelles donn�es au fabricant, ce dernier rectifie le tir et am�liore ses logiciels dont la nouvelle version est automatiquement t�l�charg�e sur le d�mo qui se met � jour sans l�intervention humaine. Cela va n�cessairement influer sur les cartes pirates cr��es pour une version ant�c�dente. Ces cartes sont con�ues donc pour suivre l��volution technologique du diffuseur. Le probl�me cessera d�exister lorsque le terminal sera parfait du point de vue technologique.�
M. F.

Ebay Turquie condamn� pour contrefa�on
Le cabinet d�avocats d�affaires Gide Loyrette Nouel (GLN) explique qu�il vient d�obtenir en Turquie la condamnation d�un site Internet marchand de vente aux ench�res-www.gittigidiyor.comqui n�est autre que la filiale d�eBay. Jusqu�alors consid�r� comme simple h�bergeur par les Tribunaux d�instance, deux arr�ts r�cents de la 11e Chambre civile de la Cour de cassation sanctionnent le site, estimant qu�il facilite les actes des contrefacteurs en mettant en vente leurs produits contrefaits, tout en obtenant des profits en sa faveur. �Cette d�cision va contraindre les sites Internet, destin�s � la vente aux ench�res, � v�rifier l�authenticit� des produits qu�ils mettent en vente�, a comment� Esra D�ndar-Loiseau, avocate en charge du D�partement de la propri�t� intellectuelle chez GLN � Istanbul. Rappelons que sur Ebay circule des contrefa�ons d�appareils satellites dont notamment de la marque Dreambox.
Chrisat
HD+ pirat� 4 jours apr�s son lancement !
Quatre jours apr�s le lancement de HD+, le nouveau bouquet allemand en haute d�finition qui regroupe les grandes cha�nes allemandes en collaboration avec Astra, celui-ci est d�j� pirat� par les utilisateurs des Dreambox qui font �galement sauter la protection des copies.


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