Contrôlé positif après le prélèvement de ses urines, le 26 janvier, lors du match entre l'USM El Harrach et le RC Relizane, et suspendu par la commission de discipline de la LFP « à compter du mercredi 20 février 2019, jusqu'à son audition lors la séance du lundi 25 Février 2019 à 11h00 », le milieu de terrain de l'USMH, Bilel Naili, crie son innocence et « jure ne pas avoir effectué de contrôle anti-dopage». Naili clame haut et fort que l'échantillon prélevé n'est pas le sien, mais celui d'un de ses camarades. Y a-t-il du trafic dans les contrôles anti-dopage ? Une enquête s'impose de la part de la FAF. La commission médicale devra prélever un autre échantillon d'urines du joueur Naili, et l'envoyer au laboratoire antidopage de Lausanne (Suisse) afin de faire une comparaison avec le premier échantillon. Affaire à suivre… Par ailleurs, le président de la commission anti-dopage de la FAF, Djamel Eddine Damardji, a jeté un autre pavé dans la marre, en affirmant sur les ondes de la radio algérienne que plusieurs joueurs simulent des blessures pour rater les matches officiels, et échapper aux contrôles, dénonçant et enfonçant ainsi les médecins des clubs, complètement dépassés par les événements.