La guerre a toujours lieu, malheureusement, et la coalition arabe est ridiculisée par le Yémen, qui se bat contre les crimes de guerre. L'Arabie saoudite est incapable de gagner contre le Yémen, malgré les armes fournies par nombre de pays, dont la France. En 2018, le prince de l'Arabie saoudite avait dit à Washington, que la guerre au Yémen sera bientôt arrêtée, et que la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite sera gagnante. La guerre a toujours lieu, malheureusement, et la coalition arabe est ridiculisée par le Yémen, qui se bat contre les crimes de guerre. Il y a quelques jours, la presse française a publié un document du renseignement militaire, qui prouve que les armes françaises remises aux Emirats, sont engagées par la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite, contre les civils au Yémen. L'Allemagne a annulé les contrats d'armes avec l'Arabie saoudite, pour dénoncer le meurtre du journaliste Khashoggi. Le prince de l'Arabie saoudite est le principal accusé du meurtre. Le président américain, et malgré le meurtre, continue à soutenir l'Arabie saoudite et lui fournit des armes, tandis que des crimes de guerre sont commis. Les Houthis ont tiré 17 missiles contre l'Arabie saoudite. Ces 17 missiles ont frappé le Sud saoudien, dans une opération hybride qui impliquait aussi des équipes d'artillerie lourde. Se précipitant, Riyad commence à redoubler de pression sur la junte soudanaise : outre la cagnotte de trois milliards de dollars allouée aux généraux de ce conseil, il a demandé à ce que le général al-Burhan, chef de la junte, largement contesté par la rue soudanaise, désigne le chef des opérations commandos soudanaises au Yémen comme son adjoint. Mais au point où en sont les opérations militaires saoudo-émiraties, la partie semble déjà perdue pour Riyad, d'après la télévision iranienne. La coalition arabe dirigée par l'Arabie continue à commettre des crimes de guerre contre les civils. Le président américain refuse de dénoncer les crimes et soutient le prince de l'Arabie saoudite. Les élus de Washington ont réclamé l'annulation du soutien américain à l'Arabie saoudite, mais le président refuse, malgré les crimes de guerre commis contre les civils au Yémen. Le meurtre du journaliste Khashoggi a imposé au président américain d'exiger à l'Arabie saoudite la caution du dialogue Houthis-gouvernement du Yémen. Emirats et Arabie saoudite ont donc cautionné le dialogue. Le gouvernement du président Abd Rabbo, dépendant de l'Arabie saoudite, reçoit les ordres du prince de l'Arabie saoudite, et n'est pas très enthousiaste pour le dialogue. Le très contesté prince de l'Arabie saoudite n'a aucune crédibilité auprès de l'opinion mondiale, et n'est aujourd' hui, soutenu que par le président américain, le premier ministre d'Israël, l'émir des Emirats et celui du Bahreïn. L'Arabie saoudite n'a pas pu gagner la guerre lancée contre les civils, malgré les armes fournies par Washington.