Afin de protester contre ce qu'ils appellent «la marginalisation» de leur corporation par la tutelle et les conditions difficiles dans lesquelles ils évoluent, les paramédicaux de l'établissement public hospitalier (EPH) d'Amizour, affiliés au Snapap, ont observé hier une journée de grève pour attirer l'attention de la tutelle sur leur situation socioprofessionnelle, notamment en ce qui concerne «la promulgation du statut particulier et du régime indemnitaire», qui les «fuit» depuis 3 ans. Les grévistes déplorent la cherté de la vie et demandent à ce que leurs revendications soient satisfaites.