Les ânes, cédés en moyenne à quelque 5000 dinars ont vu leur prix grimper brusquement à la « faveur » des intempéries cycliques qui ont gravement touché l´est et le centre du pays. Dans les régions enclavées de la wilaya de Skikda, par exemple, ces animaux se sont négociés pour au moins le double de leur prix puisqu´ils étaient les seuls à pouvoir traverser les routes fermées et permettre de ramener les vivres et les bouteilles de gaz butane.