Le directeur de la régulation au niveau du ministère de l´Agriculture, Chérif Omari, a signalé la lenteur des procédures de l´UE en citant le cas d´une demande qui a été faite auprès de l´UE pour exporter du miel, du lait et des produits laitiers et qui est toujours à l´étude par la partie européenne depuis 2 ans. Pour ce qui est de l´appui attendu de l´UE, M.Omari a mis en exergue la nécessité de réduire le déséquilibre commercial entre l´Algérie et l´UE à travers la révision de l´Accord d´association, l´amélioration de la productivité, la régulation des marchés agricoles, la structuration des filières agricoles, la valorisation de la production agricole, la normalisation et l´intensification de la coopération dans le domaine de la formation et recherche.