Les médecins légistes ont, dans leur rapport, relevé que la victime a subi un viol collectif avant d'être achevée. Les faits divers dominent, ces derniers jours, la chronique oranaise. La criminalité continue de gagner du terrain tandis que la gent féminine semble constituer la proie privilégiée des actes hautement criminels. Après la commune d'Oued Tlélat, cette fois-ci c'est à Aïn El Turck qu'une jeune femme, âgée à peine de 23 ans, a été retrouvée pendue à un arbre et ce, dans un lieu isolé de la commune de Aïn El Turck. La découverte macabre a eu lieu en fin de semaine dernière plongeant ainsi les habitants et les estivants de cette ville côtière dans l'émoi et la désolation. Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime a été kidnappée par deux hommes qui étaient à bord d'un véhicule volé. L'enlèvement a eu lieu près de l'une des universités d'Oran. Les deux malfrats continuent à faire l'objet d'intenses recherches, a-t-on appris. Avant que la victime ne soit tuée, cette dernière a été ligotée tout en lui faisant subir les pires des tortures corporelles. En effet, les médecins légistes ont, dans leur rapport, relevé que la victime a subi un viol collectif avant qu'elle ne soit achevée. L'acte ignoble continue à dominer la chronique oranaise au moment où les recherches sont lancées sur plusieurs fronts en vue de tirer au clair cette autre affaire hautement criminelle et au mobile qui demeure énigmatique étant donné que les malfrats sont toujours en cavale. Un tel acte aussi bien abject que condamnable n'est pas le premier du genre dans la deuxième ville du pays. Tout récemment, le cadavre d'une femme à la fleur de l'âge a été retiré d'une canalisation d'eaux usées de la commune d'Oued Tlélat, localité située au sud de la wilaya d'Oran. Le corps sans vie était en décomposition très avancée tandis que la victime n'est toujours pas identifiée. Dans cet autre feuilleton de grande criminalité, la découverte macabre a eu lieu dans la «ferme Roux 18» et ce, suite à des informations fournies par des habitants d'Oued Tlélat qui ont signalé une odeur à la fois étrange et nauséabonde. Aussitôt intervenus, les éléments de la Protection civile se sont rendus compte que l'affaire n'est pas aussi simple vu que la victime a été retrouvée les mains et les pieds ligotés et la bouche bandée d'un ruban adhésif. Une première information d'enquête a été ouverte sur place. Dans cet autre épisode digne des films policiers, tous les ingrédients d'un crime hautement planifié étaient présents. A l'heure où nous mettions sous presse, les investigations se poursuivent sur plusieurs fronts, la victime serait étrangère à la wilaya d'Oran étant donné qu'aucun avis de recherche et encore moins de disparition émanant de la famille de la victime n'a été émis. Le corps sans vie de la victime aurait été transporté d'une localité lointaine, la finalité étant fort probablement de brouiller les pistes susceptibles de mener à la vérité et ce, en se débarrassant des traces du crime. Dans cette affaire, les enquêteurs, en vue d'accomplir leur mission, n'ont comme seule et unique piste de recherche que le rapport d'autopsie.