De plus en plus d'entreprises tendent à s'internationaliser. Mais en raison des restrictions légales, elles peinent à s'externaliser. Actuellement, le gouvernement est favorable à l'investissement d'entreprises nationales à l'étranger si elles s'engagent à rapatrier leurs dividendes. Le gouvernement a autorisé les opérateurs économiques à payer leurs prestataires étrangers sur leurs comptes devises détenus auprès de la Banque d'Algérie, dont la quote-part est passée de 10 à 20%.