Les travaux effectués par la firme hollandaise «Queens Grass» n'ont pas donné satisfaction Ayant constaté l'état déplorable du terrain de l'OCO, au même titre que celui de plusieurs pelouses sur le territoire national, le ministre de la Jeunesse et des Sports a pris le dossier très au sérieux. Dès sa nomination à la tête du ministère de la Jeunesse et des Sports, le Dr Mohamed Tahmi n'a pas perdu de temps pour s'enquérir en personne de la situation de la pelouse naturelle du stade olympique Mohamed-Boudiaf, d'autant plus que la surface de jeu principale sus-citée n'a finalement pas du tout répondu aux attentes de l'OCO. La santé est devenue systématiquement, à chaque fois, très précaire de la pelouse du stade 5-Juillet. Une situation tellement récurrente que le feuilleton de ladite pelouse prise en charge en 2009 par une société hollandaise, en l'occurrence la «Queens Grass», a fini par être tranchée en premier appel, en faveur de la partie algérienne, représentée par l'OCO et le MJS. Une dernière décision de justice qui s'imposait d'elle-même par le tribunal territorialement compétent en la matière, comme cela avait été d'ailleurs mentionné dans le contrat qui avait lié à l'époque les deux parties en conflit. Mais il est clair que c'est bel et bien aujourd'hui la société néerlandaise sus-citée qui n'a nullement respecté le cahier des charges, notamment depuis que l'entreprise Queens Grass, a été tout simplement incapable de lever les réserves émises de longue date par l'Office du complexe Mohamed-Boudiaf, au sujet de la pelouse naturelle du stade 5-Juillet. Et derrière la fermeture en mai 2013 de l'enceinte olympique en question. Il serait toutefois inutile de revenir aujourd'hui sur cette histoire de la fameuse première opération ratée d'entrée au moment de la pose du gazon naturel, et qui devait nécessairement s'appuyer sur la mise en place vitale de la terre végétale adéquate en la matière. Une opération qui a malheureusement été un véritable échec, et combien de fois obligé les responsables de l'OCO à parer au plus pressé, grâce notamment au dévouement des employés du stade 5-Juillet. Mais cette déplorable situation qui a souvent incité l'OCO à fermer le stade 5-Juillet, ne pouvait en aucun cas durer éternellement. En tant que puissances publics, le ministère de la jeunesse et des Sorts, a donc pris le taureau par les cornes pour tenter de résoudre à son niveau un problème d'entretien des pelouses naturelles, non pas seulement au niveau du terrain 5-Juillet, pas aussi concernant celles existantes aussi à travers l'ensemble des stades dotés de pelouses naturelles. Et comme derrière chaque malheur, il y a aussi souvent du bon, c'est finalement une société irlandaise qui a déjà fait ses preuves en la matière au niveau du stade Tchaker de Blida, qui semble aujourd'hui la mieux appropriée pour résoudre très prochainement le véritable problème devenu récurrent, relatif aux stades dotés de pelouses naturelles. Il est donc clair que la dernière décision prise par le MJS de fermer le stade 5-Juillet, et cela en commun accord avec l'OCO et la FAF, relève aujourd'hui de l'intérêt de l'ensemble de nos stades en mal de terrains en gazon naturel véritablement digne de ce nom. Le stade 5-Juillet fermera ses portes dès le lendemain de la finale de Coupe d'Algérie, et devra vraisemblablement être opérationnel dès l'entame de la saison footballistique 2013- 2014.