Le sociétaire du CAB est convoqué par le sélectionneur des «Eperviers», le Français Didier Six, pour le match amical international prévu demain face au Maroc à Casablanca. Le milieu de terrain international togolais du CA Batna, Mani Sapol, a relevé la difficulté de la mission du Togo pour se qualifier au second tour de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2013 en Afrique du Sud (19 janvier- 10 février). «Franchement, nous avons hérité d'un groupe assez difficile, en présence de l'Algérie, la Côté d'Ivoire, et la Tunisie. Ce sera délicat pour nous de nous qualifier au second tour de la compétition, mais on ira là-bas avec l'intention de jouer crânement nos chances», a affirmé Mani Sapol. Le sociétaire du CAB est convoqué par le sélectionneur des «Eperviers», le Français Didier Six, pour le match amical international prévu demain face au Maroc à Casablanca. «Il s'agira pour nous d'un bon test en prévision de la CAN-2013. Jouer le Maroc nous permettra de situer notre niveau et surtout au sélectionneur d'avoir une bonne idée sur le groupe», a ajouté Mani Sapol, qui détient une quinzaine de sélections avec le Togo. Appelé à évoquer le match face à l'Algérie, prévu le 26 janvier au stade de Royal Bafokeng Stadium de Rustenburg, le milieu togolais ne tarit pas d'éloges sur les Verts. «Les débats seront certainement très disputés. L'Algérie n'est plus à présenter, elle a prouvé qu'elle est l'un des gros morceaux du continent. Nous allons gérer match par match avec l'intention d'aller le plus loin possible», précisant que le retour en sélection d'Emmanuel Adebayor sera «très bénéfique au groupe.» Mani Sapol se remémore de la tragique fusillade dont a été victime l'équipe du Togo dans l'enclave angolaise de Cabinda, lors de la CAN-2010. «Ce jour là, j'étais avec l'équipe et je n'oublierai jamais ce triste épisode du football togolais. Maintenant, nous devons nous projeter sur l'avenir et essayer de faire bonne figure en Afrique du Sud», a t-il souhaité. Après l'attentant, le Togo a décidé de se retirer de la CAN-2010, ce qui a poussé la Confédération africaine de football (CAF) a le suspendre de toute compétition pendant deux années.