Une affaire de spoliation d'attribution légale de terrain est venue bouleverser la sérénité de la vie du fils de chahid, Aïssa Dehiri résidant à Hay Magnouche, Tixeraïne, ferme Mme Gerot, Association Essalem, Birkhadem (Alger). Dehiri est venu à notre rédaction pour exposer son désarroi. Ecoutons-le: les faits remontent à 2006 lorsque la nommée D.G. procède, «frauduleusement» selon le plaignant, à une première vente dudit terrain nu, de 152 mètres carrés, à un certain Y.M.résidant à Bab El Oued (Alger). Ce dernier entame rapidement les travaux de terrassement destinés à l'édification d'une habitation. Après plainte déposée par le premier, vrai et seul, propriétaire, Dehiri, possédant un permis de construire en son nom daté du 5 février 2007, la justice ordonne l'arrêt des travaux d'excavation. Année 2009, «re-belote». Le même terrain, lot n° 5, dont Dehiri est propriétaire suite à une décision du 17 janvier 1996 établie et délivrée, dit-il, par Saoudi, chef de daïra de Bir Mourad Raïs et le président Raïs de l'APC de Birkhadem, est vendu une seconde fois, toujours par la même dame. Le nouvel indus «acquéreur», un certain H.T appelé communément «Bsikri» prétend, toujours selon Dehiri, avoir des témoins sur «l'achat du terrain auprès de la commune». Dehiri, documents en main, affirme avoir versé 30.000 DA le 14 août 1996, somme nécessaire pour la réalisation de l'assainissement. En témoigne une photocopie du versement effectué auprès de la Banque nationale d'Algérie (BNA), agence 625 de Kouba. Justice où es-tu? Sommes-nous tentés de poser comme questionnement.