KIA offre à sa clientèle un cadre d'accueil et un traitement des plus conviviaux. KIA Motors Algérie a déroulé, hier, le tapis rouge à ses invités de marque à l'occasion de l'inauguration de son nouveau siège au Caroubier (Alger), non loin de la gare routière. Charmantes hôtesses et écran géant où passaient en boucle les prouesses des meilleurs véhicules signés par le géant coréen de l'automobile, notamment le Sorento (4x4), l'espiègle Picanto (petite citadine) ou la féline Rio rehaussèrent le décor de l'intérieur du nouveau bâtiment de trois niveaux et à la vue imprenable sur la baie d'Alger. L'édifice, d'un design et d'une architecture à vous couper le souffle ainsi que l'inauguration dont il a fait l'objet, ont donc été à la hauteur des exploits de l'entreprise KIA Algérie. Cette dernière occupe déjà, et au bout de quatre années d'existence, les 4e et 5e places sur le marché avec une gamme de véhicules qui répond à tous les besoins et à toutes les bourses. D'autant plus que le constructeur coréen qui ambitionne de se placer parmi les cinq plus grands constructeurs mondiaux d'ici à l'horizon 2010, entend écouler sur le marché algérien jusqu'à 5000 véhicules pour l'année 2004. Année où il compte vendre pas moins de 1.200.000 véhicules à travers le monde. Parmi les hôtes de marque présents à la cérémonie d'inauguration animée par les deux frères Achaïbou ainsi que le président de KIA M.Kwon, citons le député Harchaoui et ex-ministre des Finances, qui a tenu à confier à L'Expression : «Je suis venu avec beaucoup de plaisir à cette cérémonie d'autant que le groupe KIA Achaïbou mérite d'être félicité pour les progrès qu'il a réalisés tout en faisant travailler plus de 600 employés. Ce sont autant de familles algériennes qui touchent un revenu. Les résultats de KIA participent à la croissance de l'économie nationale. L'homme qui est à la tête du groupe KIA mérite tout notre soutien pour d'autres réalisations.» Dans son discours inaugural, M. Achaïbou n'a pas manqué de rappeler les tragiques évènements du 14 juin 2001, «que tout le monde sait» et où les archs incendièrent l'ancien siège de KIA Motors lui causant un préjudice de 150 millions de dinars, soit 4 millions de dollars. «C'était également le sort des 250 emplois directs de la société qui était en jeu» a-t-il ajouté. L'entreprise était alors au bord de la faillite avec ses quelque 300 véhicules détruits. Mais, et en dépit de ce coup du sort et de sa jeunesse, KIA Motors Algérie a pu se relever et continuer d'exister en comptant sur sa seule force. C'est-à-dire, comme le souligne son président-directeur général, grâce au personnel de la société qui a réagi de manière admirable dans cette épreuve. Tout en rendant hommage à KIA Motors Corporation qui a également aidé le groupe durant son tourment. Depuis, KIA a reconstitué son potentiel et a pu renouer avec la croissance, le nouveau siège en est le meilleur révélateur. Une croissance que doit KIA au dynamisme de l'entreprise, mais surtout à la clientèle particulière, institutions et entreprises, qui lui ont fait confiance et continuent à le faire.