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La vraie vérité
LA DESTRUCTION DE L'HUMANITE À HIROSHIMA ET NAGASAKI
Publié dans L'Expression le 09 - 08 - 2015

Cette phrase résume à elle seule la doctrine de la dissuasion. Cette année 2015 a été l'année des commémorations en règle générale de ce que l'on appelle les Alliés: les vainqueurs. Ce terme prête à confusion pour deux raisons, car des vainqueurs il y en a eu deux, l'un que l'on appellera par la suite l'empire américain et ses vassaux qui s'attribuent les mérites sans en avoir payé le prix du sang ou plutôt, ils ont payé effectivement avec le sang des autres, ce fut pour l'Angleterre, les Indiens les Pakistanais et pour la France, l'essentiel de l'effort supporté par les Régiments de tirailleurs algériens, tunisiens et marocains sans oublier le petit peuple constitué par les Européens d'Algérie. L'autre allié qui n'a jamais été reconnu est l'Empire soviétique, le premier à planter le drapeau sur la chancellerie du Reich un certain jour de mai 1945 qui marqua symboliquement la fin de la guerre.
En face, deux peuples guerriers et leurs «alliés» comme l'Empire ottoman qui en paya un terrible prix: la curée était telle que la guerre n'était pas terminée que les acolytes diaboliques commençaient à se partager la dépouille encore fumante.
Ces deux peuples guerriers étaient l'Allemagne qui n'a jamais accepté l'humiliation du traité de Versailles et le Japon qui s'estimait être l'héritier d'une grande civilisation. Nous verrons que le largage des deux bombes atomiques était plus fait pour donner un signe de Truman aux Soviétiques que de faire capituler un pays qui était déjà à genoux et qui ne demandait qu'une reddition dans l'honneur en sauvant l'empereur.
Le 16 juillet 1945, à l'issue du premier tir nucléaire grandeur nature, dit «Trinity», au Nouveau-Mexique, le physicien américain Kenneth Bainbridge, responsable de l'essai, avait déclaré à Robert Oppenheimer, patron du projet Manhattan: «Maintenant nous sommes tous des fils de putes» («Now we are all sons of bitches»). Trois semaines plus tard, le 6 août, le bombardier américain Enola Gay larguait la bombe «Little Boy» sur Hiroshima, au Japon, qui tuait 80.000 personnes d'un coup.«L'aube d'une ère nouvelle», assurent certains scientifiques. 80.000 Japonais moururent (140.000 selon les Japonais) sur le champ. L'humanité entamait une ère nouvelle caractérisée par la possibilité de son extinction.
Il faut savoir en effet que les Soviétiques, s'employèrent eux aussi à maîtriser le feu nucléaire moins de trois ans plus tard, ils faisaient exploser leur bombe atomique. Ce qui a amené les Américains à aller plus loin et à faire exploser une bombe à hydrogène de 10 megatonnes de TNT où le détonateur était constitué par une bombe atomique à l'uranium 235.Il y eut même des bombes au plutonium. Ce à quoi les Soviétiques firent exploser la bombe appelée Tsar bomba de 50MT soit près de 3000 fois la bombe d'Hiroshima. L'Angleterre fit elle aussi des essais et on connaît les essais de la France les 13 essais (Gerboises multicolores) L'histoire se souviendra du cri de joie de De Gaulle, le président français:«Hourra pour la France! Depuis ce matin, elle est plus forte et plus fière» le 13 février 1960 félicitant les militaires qui venaient de faire exploser une bombe 70 KT 5 fois plus puissance que celle d'Hiroshima, dans l'Algérie en guerre. Les Algériens paient encore le prix de l'ivresse de puissance. (1)
Les motifs réels
On est en droit de se demander pourquoi les Etats-Unis ont largué une bombe atomique sur un pays à genoux! Mieux encore, pourquoi trois jours après, une autre bombe sans motif apparent. Dans le documentaire de Arte à ce sujet,nous lisons «(...) Cette investigation ambitieuse éclaire aussi bien les motivations réelles des Américains que les conséquences sociales, sanitaires et environnementales du désastre. Little Boy était-elle un «mal nécessaire» pour forcer les Japonais à capituler? Hiroshima démontre que le pays de l'empereur Hirohito avait de toute façon déjà perdu la guerre et s'apprêtait à négocier. Les objectifs de Truman étaient autres: tester in vivo l'efficacité de la bombe et devancer les Russes dans la course à l'armement. Même duplicité après la seconde explosion atomique (Nagasaki, le 9 août): les Américains font des études scientifiques mais ne soignent personne. Le quotidien des irradiés est occulté: considérés comme des pestiférés, ils doivent subir l'emprise rapace des mafias japonaises et la désagrégation des rapports humains. Dans le même temps, aux EU, une propagande gouvernementale massive tente de rendre populaire le recours au nucléaire (2).
La bombe était-elle nécessaire?
Pour le philosophe Jean-Pierre Dupuy, polytechnicien et ingénieur des mines professeur à l'université Stanford: l'existence de l'arme nucléaire pose un défi extrême à la pensée. Par elle, une possibilité inouïe a fait irruption dans l'histoire humaine: l'autodestruction de l'espèce. (...) Pour l'opinion américaine, aujourd'hui encore, la décision la plus importante de l'histoire du XXe siècle aura été un mal, certes, mais un mal nécessaire. Sans l'effet terrifiant de la bombe, seule une invasion de l'archipel qui aurait coûté la vie à un demi-million de soldats américains pouvait faire céder le Japon.» (3)
«Si ce qu'il fallait cacher, poursuit le philosophe Jean-Pierre Dupuy c'est que la bombe n'était nullement nécessaire pour obtenir la capitulation du Japon? (...)Il aurait suffi de deux conditions pour que la reddition soit obtenue sans délai: que le président Truman insiste pour que l'Union soviétique déclare sur le champ la guerre au Japon; que les Américains promettent de laisser l'empereur en vie et en fonction. Truman a refusé l'une et l'autre conditions. C'était à la conférence de Potsdam qui a débuté le 17 juillet 1945. La veille, le président avait reçu la «bonne nouvelle»: la bombe était au point,(...) La bombe existait, elle ne pouvait qu'être utilisée. (...) Cette extravagance révèle que les conditions nées de l'effondrement de la puissance soviétique n'ont rien ôté de son caractère dément à la logique de la dissuasion. La sécurité y est fille de la terreur. Cette logique a reçu un nom approprié: MAD («fou» en anglais), pour «Mutually Assured Destruction» - destruction mutuelle assurée. (...)Dans ses mémoires, Valéry Giscard d'Estaing a avoué que jamais il n'aurait appuyé sur le bouton. L'état-major ne lui a pas encore pardonné. (...)De là à conclure que la dissuasion est une chose du passé et que la guerre préventive doit la remplacer, il y a un énorme pas qu'on ne devrait pas franchir. (...) Il est difficile de ne pas partager le pessimisme de Günther Anders. L'apocalypse est inscrite comme un destin dans notre avenir, écrit-il dans son livre Hiroshima est partout (Seuil, 2008), et ce que nous pouvons faire de mieux, c'est retarder indéfiniment l'échéance. Nous sommes en sursis.» (3)
Les causes qui font diversion
On prête aux physiciens juifs allemands réfugiés aux Etats-Unis leur intervention auprès d'Einstein pour qu'il puisse informer le président Roosevelt que les physiciens allemands étaient proches de la confection d'une bombe atomique et qu'il fallait arrêter cela. Pourquoi alors une bombe sur Hiroshima et pas sur Berlin?
Une autre raison invoquée par les boute-feux qui ont encouragé Truman est que la simple prise de l'île d'Okinawa a coûté 7600 morts à l'armée américaine. L'état-major américain craint, non sans exagération, de perdre 500.000 soldats pour conquérir Honshu, l'île principale de l'archipel. C'est ainsi qu'émerge l'idée d'utiliser la bombe atomique contre l'Empire du Soleil levant, pour briser sa résistance à moindres frais. Comment peut-on comprendre l'ambivalence du discours américain. N'est-ce pas le président Roosevelt, le 1er septembre 1939 lors d'un appel aux Européens: «Le bombardement aérien sans pitié de civils dans des régions urbaines non fortifiées, au cours des hostilités qui ont fait rage dans différentes parties du monde ces dernières années, qui a mutilé et tué des milliers de femmes et enfants sans défense, a profondément choqué la conscience de l'humanité.» On dit aussi parmi les causes, qu'en réponse à la déclaration de Potsdam du 26 juillet, le gouvernement japonais organisa le 28 une conférence de presse au cours de laquelle le Premier ministre Kantarô Suzuki annonça l'intention du Japon «d'ignorer» (mokusatsu) l'ultimatum.
Les réticences multiples de l'état-major
Pourtant pratiquement tout l'état-major était contre. A commencer par le général Dwig Eisenhower. D'autres voix se sont élevées contre l'utilisation militaire des bombes atomiques. Il est admis que le Japon était à genoux et cherchait une reddition dans l'honneur. A l'été 1945, le blocus du Japon était presque complet. Les sous-marins et l'aviation américaine avaient le contrôle des eaux côtières. Il a été avancé que l'utilisation d'armes atomiques à grande échelle contre les populations civiles était un crime de guerre, voire un crime contre l'humanité. La Convention de La Haye stipulait: le bombardement aérien visant à terroriser la population civile, à détruire ou endommager des biens de nature non militaire ou à blesser des non-combattants est interdit (Art. 22). Le Japon était déjà profondément affaibli dès le début de 1945 et la capitulation inéluctable. L'officier le plus haut gradé dans le théâtre des opérations en Pacifique était le général Douglas MacArthur. Il ne fut pas consulté au sujet des bombardement,s mais dira après coup qu'il n'y avait pas de justification militaire pour cette attaque.(4)
L'ivresse de puissance de Truman en mal de légitimité
Le major-général Curtis LeMay, l'amiral Ernest King (chef des opérations navales), l'amiral Chester Nimitz (chef de la marine dans le Pacifique) émettront également des doutes au sujet des bombardements atomiques. Eisenhower écrira dans son mémoire The White House Years: «En 1945, le secrétaire de la Guerre Stimson, alors en visite dans mon quartier général en Allemagne, m'informa que notre gouvernement était en train de préparer le largage d'une bombe atomique sur le Japon. J'étais de ceux qui avaient le sentiment qu'il devait y avoir un certain nombre de raisons valables pour mettre en doute la sagesse d'un tel acte. Plus loin, il ajoute: «MacArthur pensait que le bombardement était complètement inutile d'un point de vue militaire.» Les Etats-Unis savaient déjà depuis longtemps décoder les messages japonais et savaient donc que les Japonais cherchaient depuis des mois à déposer les armes. L'amiral Chester W. Nimitz, commandant en chef de la flotte US du Pacifique, fit écho à cette réalité lorsqu'il écrivit: «En fait, les Japonais avaient déjà avoué leur défaite, la bombe atomique n'a joué aucun rôle sur le plan strictement militaire.» (4)
Il existe un autre argument: l'ambition démesurée de Truman. Roosevelt meurt en Avril 1945, le vice-président Truman lui succède pour la fin du mandat. Voulant se légitimer et peut-être militer pour un mandat de président, il décide du largage des bombes, cette décision renforcerait rapidement sa popularité. De plus, Truman lui-même déclara hypocritement que l'objectif des deux bombardements nucléaires était de «ramener les boys à la maison». Il pouvait être tenté enfin de surfer sur l'argument «il faut laver l'affront de Pearl Harbour». Encore une fois le Japon était à genoux, il demandait une reddition dans l'honneur. Pour l'Histoire, cependant, l'embargo complet sur le pétrole et l'acier ainsi que le gel des avoirs japonais sur le sol américain. a fait que le Japon étranglé n'avait pas d'autre choix que de se battre. ce fut Pearl Harbour le 7 décembre 1941. Le mythe du «Jour d'infamie» de l'Amérique, consolide fortement l'idée que l'Amérique n'attaque que pour se défendre.»(5)
La vraie vérité: intimider l'Union soviétique
La réponse se trouve en fait dans l'attitude des Etats-Unis envers les Russes. En février 1945, les Etats-Unis ne savaient pas encore si la bombe allait fonctionner. L' analyse de Jacques Pauwels historien canadien se tient: «L'irruption des Etats-Unis dans la Seconde Guerre mondiale doit-elle être considérée comme une croisade contre la barbarie nazie, la lutte du Bien contre le Mal? (...) les Américains étaient, en effet, loin d'être indifférents aux ressources économiques et la dimension géostratégique des régions qu'ils allaient libérer. (...) En Europe de l'Ouest, les Américains et les Britanniques avaient déjà créé un nouvel ordre presque un an auparavant, et Staline avait accepté cet arrangement. En Europe de l'Ouest, tout avait déjà été décidé; en Europe de l'Est, et en Allemagne, tout restait possible. (...) Le 25 avril 1945, Truman prit connaissance du projet ultrasecret Manhattan (...) Truman et ses conseillers se trouvaient fascinés par ce que le célèbre historien américain William Appleman Williams a appelé une «vision d'omnipotence». La bombe atomique constituait «un marteau», comme disait Truman lui-même, qu'il brandirait au-dessus de la tête de «ces gars au Kremlin». (...) Ainsi naquit la diplomatie de l'atome, qui a été dévoilée d'une manière si captivante par l'historien américain Gar Alperovitz. (...)» (6)
«A la conférence de Postdam du 17 juillet au 2 août 1945, Truman reçut le message tant attendu lui annonçant que la bombe avait été testée avec succès le 16 juillet à Almagordo, au Nouveau-Mexique. Le président américain se trouvait maintenant assez fort pour prendre
l'initiative, il rejeta catégoriquement toutes les propositions qui émanaient du côté soviétique. (...) Or, Staline ne montra aucun signe de faiblesse, même pas lorsque Truman essaya de l'intimider en lui soufflant dans l'oreille que l'Amérique avait acquis une nouvelle arme terrifiante. Le sphinx soviétique, qui avait certainement déjà été informé du projet Manhattan par ses espions, écouta dans un silence de plomb. Truman en conclut que seule une démonstration réelle de la bombe atomique pouvait persuader les Soviétiques de plier.» (6)
On dit que le Japon n'assume pas son passé militariste. La réalité est plus nuancée. Le Japon s'est développé en acceptant que sa sécurité soit assurée par les Etats-Unis; la situation actuelle a changé. Le Japon ne renie rien de son passé, bien qu'il envisage d'indemniser la Chine. Il affiche sa volonté de se réarmer face à la Chine convaincu, qu'il faut qu'il se repositionne sur l'échiquier mondial. C'est le cas aussi de l'autre vaincu, l'Allemagne qui envisage aussi de se réarmer. Il reste que les deux bombes ont montré que l'homme était capable du pire. L'atome est remplacé par d'autres armes tout aussi terrifiantes (drones, armes chimiques, lasers, GBU...) qui elles, sont utilisées sans retenue. Depuis les 300.000 morts de ces bombes, il y eut 55 conflits qui ont fait des millions de morts. Ainsi va le Monde...
1. http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/ 08/03/70-ans-apres-hiroshima-la-science-produira-t-elle-de-nouveaux-fils-de-putes_4710139_ 1650684.html#zKhV72coHVA0KrLT.99
2.http://www.arte.tv/guide/fr/054197-000/hiroshima-la-veritable-histoire
3.http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/08/03/penser-l-impensable-destruction-nucleaire_4709397_3232.html#2XR7vrazix46XA0G.99
4. Robert Freeman http://www.legrandsoir.info/ etait-il-necessaire-de-lancer-des-bombes-atomiques-sur-le-japon-common-dreams.html 8 août 2011
5.http://www.legrandsoir.info/il-y-a-66-ans-l-eradication-d-hiroshima-et-de-nagasaki-etait-elle-morale.html
6. J. Pauwels http://www.aden.be/index. php?aden=le-mythe-de-la-bonne-guerre


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