Les autorités sanitaires de la région de Kirkouk dans le nord de l'Irak ont examiné 800 personnes depuis l'attaque chimique la semaine dernière à Taza, menée par le groupe terroriste autoproclamé "Etat islamique" (EI/Daech), ont affirmé lundi des responsables. "Le nombre de personnes prises en charge et auscultées dans les hôpitaux à Dakouk et Kirkouk a atteint 800", a affirmé Hussein Adil Abbas, le maire de Taza. "Parmi les personnes auscultées, 61 recevaient un traitement et doivent subir de nouvelles analyses. Sept d'entre elles ont été transférées à Baghdad", a indiqué M. Abbas. Une enfant de trois ans est morte vendredi de complications dues à l'attaque après avoir été hospitalisée.