Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a indiqué que l'Algérie perdait en Amar Ezzahi «une icône de la chanson chaabie et un talentueux créateur qui a passé sa vie au service du patrimoine musical national et qui a légué au champ culturel des chansons éternelles». «J'ai appris avec affliction le décès d'Amar Ezzahi, une icône de la chanson chaâbie et un talentueux créateur qui a passé sa vie au service du patrimoine musical national et qui a légué au champ culturel des chansons éternelles», a écrit le chef de l'Etat dans un message de condoléances à la famille de l'artiste, décédé mercredi après-midi. «La communauté artistique et tous ses fans continueront pendant très longtemps de fredonner ses chansons», a écrit le chef de l'Etat dans son message rappelant que le défunt était de «cette élite d'artistes pionniers dans leur genre qui ont gratifié leur public d'une oeuvre mémorable et enrichi la scène artistique nationale d'un patrimoine de chansons reflétant un goût raffiné». Le président Bouteflika d'ajouter qu'«avec la disparition d'Ezzahi, l'Algérie perd une icône de la chanson chaâbie et un artiste virtuose dont l'oeuvre alliant modernité et authenticité inspirera à jamais les créateurs». «Ezzahi nous quitte mais son oeuvre, éternelle, ne cessera de marquer l'histoire de l'art et les générations montantes», a ajouté le président de la République. Le chef de l'Etat a adressé ses «condoléances les plus attristées à la famille du défunt priant Dieu Tout-Puissant de lui accorder Sa sainte Miséricorde et de l'accueillir en Son Vaste Paradis.