Le Mouvement populaire du 22 février 2019 et son sursaut salvateur fait face à une stratégie diabolique de la part d'une nébuleuse des plus fascistes que le spectre politique en présence avait connues. Depuis plus d'une année, la dynamique populaire pour un changement démocratique et social subit des coups d'une fraction nihiliste et obscurantiste, à savoir le mouvement islamiste radical Rachad. Tout le monde voyait de visu ce qui se passait devant leurs yeux et via des plates-formes et des sites au niveau de la Toile, mais personne n'osait critiquer et afficher son rejet des pratiques dignes du maccarthysme de la part de cette nébuleuse qui s'attaque à tout le monde et elle contre tout le monde, pour la simple raison, qu'elle se croit incarner le Hirak et plus encore, elle se considère comme l'incarnation de la vérité absolue.Cette nébuleuse ne rate aucune occasion pour s'attaquer aux femmes et aux hommes qui ne partagent pas sa démarche obscurantiste et moyenâgeuse de l'instauration de «la Khilafa islamiya» en recourant à la ruse et à la versatilité visant à présenter leur démarche biscornue en un slogan fumeux tel que «Dawla madania machi aâskaria», alors que son corpus discursif et son programme sont basés sur l'approche typique de mou3tamar el Oumma fondée sur la mise en place de «l'Etat islamique théocratique». Le cyber-maccarthysme qu'ils ont instauré a fait montrer leur idéologie fasciste et macabre contre toutes celles et tous ceux qui expriment une démarche contraire à la leur. La dernière des «expéditions punitives» entamées par cette nébuleuse, c'est l'attaque ignoble et vile contre la jeune dame, Nour El Houda Oggadi, une Algérienne qui a exprimé son désarroi contre le statu quo comme tout le monde un certain 22 février 2019 et qu'elle a écopé d'une peine de prison pour ses idées inhérentes au changement pacifique. Les sbires et les molosses de Rachad n'ont pas cessé de la harceler et de l'intimider via des messages en la menaçant de dévoiler y compris des photos « compromettantes» la concernant. L'irréparable a été franchi, lorsqu'un des sbires de Rachad, un certain Mohamed Benhlima, avait publié une photo de Oggadi s'attaquant ainsi à l'intimité et la vie privée des gens. Comme d'habitude, les cerbères de cette nébuleuse obscurantiste ont investi le Net pour dire que cet acte est l'oeuvre de « la police politique» alors que celui qui a partagé cette photo est bel et bien l'hurluberlu Mohamed Benhlima, un affidé de Zitout et sa clique qui est connue par tous ceux qui suivent les interactions au niveau de la Toile. Avant Oggadi Nour El Houda, c'était Amel Haddad et l'avocate Aouicha Bekhti qui ont été traitées de tous les noms d'oiseaux en répétant toujours le même refrain, à savoir «la police politique». Les sbires et les incultes qui sont encadrés et qui reçoivent les directives macabres de la part de la nébuleuse obscurantiste de Rachad osent même proférer des insanités et des vulgarités à l'égard des partisans d'une autre approche de changement au sein-même du Mouvement populaire. Toutes celles et tous ceux qui ne s'identifient pas dans le giron de la nébuleuse rachadiste sont voués aux gémonies, bien sûr selon la version fasciste de cet instrument à la solde des officines étrangères. Beaucoup d'activistes et d'animateurs dans le cadre du Mouvement populaire ont subi les fatras et les attaques de ce conglomérat qui a diabolisé tout le monde. La dernière des casses que cette nébuleuse vient d'opérer c'est de faire fuir les éléments qui combattaient ensemble au sein du Mouvement populaire, Samira Messoussi en l'occurrence, qui affiché son attitude à l'égard de cette nébuleuse fasciste en soulignant que «pour des raisons personnelles, je me suis un peu éloignée des réseaux sociaux ces derniers temps, mais aujourd'hui se taire est synonyme de soumission. Soumission devant un diktat que l'on veut nous imposer. L'implication de la femme algérienne dans tous les combats au simple titre de citoyenne dérange encore. L'intégrisme n'est pas fini, nous avons le devoir de le combattre au même titre que nous combattons ce système qui l'a nourri par une école intégriste. Vous n'allez pas réussir à nous faire rentrer à la maison parce que nous sommes des femmes, mais nous continuerons à vous montrer le chemin des libertés. Ni vos menaces ni vos intimidations ne nous ferons reculer. Pour un Etat laïc et non théocratique. Totale solidarité avec Amel Haddad Est Nour El Houda Oggadi», rappelle-t-elle