Dans le cadre du programme de la ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda relatif à la sortie des films du Cadc, le Centre algérien de la cinématographie (CAC) participe à la diffusion de plus de 15 films importants produits par le Centre algérien de développement du cinéma (Cadc). Dix salles du réseau de la Cinémathèque algérienne seront mises à la disposition du distributeur public pour les sorties commerciales au cinéma et cela afin de satisfaire le grand public: Le Centre algérien de la Cinématographie qui dispose du plus grand réseau d'exploitation des salles a mis à la disposition du Cadc les salles suivantes: La Cinémathèque d'Alger, de Tizi Ouzou, Béjaïa, Souk Ahras, Tlemcen, Oran, Béchar, Sidi Bel Abbès, Annaba et Batna. Le Centre algérien de la cinématographie (CAC) possède déjà une convention de partenariat avec le Cadc qui permet la projection des derniers films produits en Algérie. Le CAC à travers son directeur Salim Aggar, se félicite de ces sorties qui permettront au grand public de découvrir les derniers films produits par l'Algérie et espère renforcer son partenariat avec le Cadc. Les projections se feront à travers des diffusions numériques à travers les Blues rays ou le DCP, puisque le CAC dispose de trois salles équipées du projecteur numérique. Deux films seront lancés à partir du 15 mars, il s'agit du film révolutionnaire «Dzair» et de l'avant-dernier film de Merzak Allouache «Paysage d'automne». Les cinéphiles auront la possibilité de découvrir des films, pour la plupart jamais distribués en Algérie à l'instar de «143, rue du désert» de Hassen Ferhani, «Abou Leila» de Amine Sidi Boumediene, «Paysages d'automne» de Merzak Allouache, «Héliopolis» de Djaâfar Gacem, ou encore «Matarès» de Rachid Benhadj. D'autres films sont également annoncés comme «La cinquième saison» de Ahmed Benkamla, «Dzair» de Mehdi Tsabbast, «Saliha» de Mohamed Sahraoui, «Djenïa» de Abdelkrim Bahloul, «L'étoile d'Alger» de Rachid Benhadj, «Ben Badis» de Bassel El Khatib, «Le sang des loups» de Ammar Si Fodhil, «Argo» de Ammar Belkacemi ou encore «Les intrus» de Mohamed Hazourli.