La Toile s'est transformée en un lieu de «concurrence» et de rivalité par excellence, entre ceux qui faisaient de l'Algérie et sa souveraineté leur sujet de prédilection, pour ne pas dire un sujet qui leur a été imposé par leurs mentors d'outre-mer. Fini le temps des choux gras pour les «blogueurs» et les «livreurs» qui consacraient leur temps à dénigrer l'Algérie et ses symboles. Il s'agit de l'effet boomerang qui vient de se retourner contre ces «mercenaires» dont l'allégeance ne signifie rien à leurs yeux, si ce n'est une somme d'argent quitte à vendre le pays. Des chaînes sur des plates-formes dans le monde de la blogosphères poussent comme des champignons, pour «recadrer» et discréditer les porteurs d'une voix qui dégagent la traîtrise à l'adresse du pays et de ses institutions. YouTube et Tik-Tok sont devenus des sites de choix pour un nombre important d'Algériens et d'Algériennes afin de faire des «live» et animer des thèmes en réponse aux mercenaires qui sont bien installés derrière leurs écrans, en attaquant l'Algérie chaque jour d'une manière qui ressemble à un conditionnement qui a été bien mis en place par des chancelleries et des officines étrangères, dans le but de porter un sérieux coup au pays. Ces «instruments» et ces «outils» à la solde d'organismes opaques et de nébuleuses sont, aujourd'hui, l'objet d'attaques par d'autres Algériens via les sites YouTube et Tik-Tok. Le hic dans cette affaire, c'est que ces nouveaux «youtubeurs» et «youtubeuses» étaient des soutiens potentiels à ceux qui passaient leur temps à insulter le pays et à s'attaquer à ses institutions et à symboles. Il s'agit de la deuxième génération de youtubeurs post-Hirak, qui a été entraînée dans des stratagèmes, au point que les conséquences ne pouvaient qu'être néfastes sur leur vie quotidienne et familiale à la fois. Cette génération a décidé de mettre à nu ce qu'ils appellent la «cinquième colonne» des puissances étrangères et leurs visées néocolonialistes. La Toile est animée par des vidéos chargées de révélations et d'attaques à l'encontre de ceux qui se présentaient comme étant des «patriotes» et des militants pour la benne cause: la démocratie et la liberté. Les éléments de la nébuleuse islamiste de Rachad versent dans une forme d'anthropophagie inédite, en s'échangeant des insultes et des quolibets, allant jusqu'à verser dans des attaques qui touchent l'honneur et la dignité des personnes et leurs familles. Les «symboles» que cette organisation terroriste propageait sur la Toile comme étant des «éminences» et des «objecteurs» de conscience sont devenus la risée des abonnés de YouTube et de Tik-Tok. La déroute est saillante, au vu du nombre de «likeurs». Alors qu'il fut un temps où ces «stars» de la Toile ratissaient large, grâce à leurs mensonges et leur méthode machiavélique qu'ils utilisaient envers les néophytes de la politique pour les endoctriner et les manipuler à leur guise. Maintenant, ce sont ceux qui étaient victimes de la manipulation de cette organisation terroriste, Rachad en l'occurrence, et les autres mercenaires liés aux services de renseignements makhzeno-sionistes qui se vengent, en menant une campagne ininterrompue, à travers Internet afin d'avertir les internautes en général, du danger que représentent lesdits mercenaires qui travaillent pour le compte des officines étrangères et ceux qui ont vendu leur âme au service de renseignements du Makhzen. Ce qui est remarquable, ces derniers temps, sur la Toile, c'est que des chaînes qui se font installer par les ex-militants et les sympathisants des mouvements terroristes activant à l'étranger, en coordination avec leur promoteurs et bailleurs de fonds, ne cessent d'apporter des témoignages et des preuves concernant à la mission et le rôle de ces nébuleuses et leurs représentants, à travers la blogosphère. Une chose est sûre; c'est que ces mercenaires sont en train de vivre un sale temps qui les a réduits à des pitres sur la Toile. La chute libre est béante, l'audience et l'audimat connaissent un recul drastique. C'est la fin d'une période qui rappelait une sinistre époque, où le pays a failli vaciller et plonger dans le chaos.