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Mélangez, la limpidité apparaîtra!
«1, 2,3, Viva l'Algirè!»
Publié dans L'Expression le 22 - 07 - 2023

L'actualité a voulu que l'on dise deux mots sur la démission de Djahid Zefizef, en qualité de président de la FAF, après seulement, près d'une année d'exercice. La cause? Ridicule! Zefizef est parti parce qu'il n'a pas eu de place dans l'exécutif de la CAF. Cela prouve au moins que malgré ses multiples déplacements en Afrique, lorsqu'il occupait un poste solide au sein de la FAF, sesdits déplacements n'auraient pas suffi à le rendre populaire auprès des présidents de la cinquantaine de pays membres de la CAF. C'était trop tôt, pour aller taquiner des «crocodiles», «léopards», «éléphants», lions et autres drôles de zèbres, lui, Djahid Zefizef l'inoffensif et fragile «fennec». Tout compte fait, le prétexte avancé par l'intègre ex-président de la FAF, est en lui-même, enfantin. Oui, vous pensez bien que Zefizef est rentré chez lui pour d'autres choses qu'il a voulu garder pour lui. Les candidats sont à voir à l'oeil nu. Et ils sont nombreux! Mais soyez sûrs et certains, il n'y aura plus d'anciens, qui se sont déjà frottés à la présidence de la FAF. Ne plus jamais, s'y frotter! Juré... Le football algérien coule en paix dans la furia des eaux usées, versées par des ignares venus d'une autre planète sans nom patronymique. Saviez-vous seulement que jusqu'à aujourd'hui, nous voguions au gré des quatre vents. Sur le plan règlementaire, notre malheureuse FAF, verse dans l'illicite depuis des ères.
Bombe à retardement
En un mot comme en mille, notre fédération file en douce, et en silence vers la suspension pure et simple de toutes compétions officielles, et bien entendu, amicales! Alors que les fans attendaient que notre pays organise la coupe d'Afrique 2025, ou à la rigueur, 2027, la FAF, elle, est assise sur une bombe à retardement, en l'occurrence, pour avoir tout simplement évité (ou oublié???) de se conformer aux lois internationales. Alors pour avoir du «limpide», mélangeons! Les gens s'attendent à du changement. Lequel? Celui provenant de la fantomatique assemblée générale? Ou encore celui émanant des gens qui la composent? Ceux des clubs? Des ligues de wilayas et régionales? Du secrétaire général? Des vice-présidents? À notre avis, c'est l'histoire de tout le monde s'en va, pour prendre d'autres dirigeants «neufs», et former un Bureau fédéral qui aura, dans ce cas, besoin de beaucoup de temps pour être fonctionnel au niveau continental, d'abord, international ensuite, mondial enfin. C'est dur mais impossible de mettre tout ce beau monde dehors! Qu'y a-t-il lieu de faire? Mais comme chez nous le culte des hommes forts du moment, n'existe pas, il est plus qu'inutile, d'aller vers d'autres choix. Ce n'est plus une question d'«hommes» mais plutôt, celle d'une adroite épuration des composantes de la fameuse et trompeuse «assemblée générale». Oui, tout le venin sort de là. Il faut vite expurger le mal de cette «secte». Une secte au sein de laquelle dorment tous les mauvais esprits qui ne voudront jamais de la transparence, de l'intégrité, de la netteté d'une Fédération nationale, prête à tous les combats, pour la sauvegarde des acquis du foot national. L'homme providentiel est parti depuis longtemps. Regardez un peu mieux en arrière. Voyez comment sont sortis de leur fonction, les Mahfoud Kerbadj, Med Raouraoua, Rabah Saâdane, Rabah-Mustafa Madjer, Kheïreddine Zetchi, Amara Charaf-Eddine, et plus près de nous, Djahid Zefizef! Chacun d'eux a donné le meilleur ou supposé être, de lui-même, pour le renom de l'Algérie. Le 1er a donné tout son temps, et sa santé au CRB, le 2e une coupe d'Afrique «à la maison», le 3e Oumdourman, en 2009, le 4e, la fameuse talonnade, le 5e, l'unique coupe d'Afrique du côté des «pharaons», le 6e, un autre high-standing, avec 4 titres de champion d'Algérie, au CRB, alors que le dernier cité n'avait pas eu le temps nécessaire d'aiguiser ses armes et d'affronter des adversaires rompus aux coups tordus, à l'africaine.
«Commando»
À chaque fois les malheureux «héros» des journées des «1, 2, 3, viva l'Aljirè!» s'en allaient tête basse, la queue entre les jambes, comme de vulgaires et vaincus récidivistes, livrés à une ignorante opinion publique trop souvent, rassasiée de mensonges, en matière de connaissances de règlements, lois et autres décrets, qui se retournait contre ces valeureux et aimants bonshommes, qui, le plus souvent, ne comprennent pas ce qui leur arrive, qu'une fois de retour sur «terre», ou à leurs anciens bureaux! Ces gestionnaires de tous bords, ne comprennent ce qui leur arrive que le jour, où ils se mettront du côté des authentiques fans, ceux qui paient leurs billets, leurs déplacements, leurs repas, ceux qui perdent l'appétit en cas d'amères ou injustes défaites. Cependant, depuis 2017, de véritables
«commandos» algériens ont pris d'assaut la citadelle «l'Aljirè», pour porter des coups assassins à notre football. Et lorsque nous écrivons «commandos», c'est peu dire! Ces «commandos» sont devenus de véritables «chevaux de Troie» du XXIe siècle! Les plateaux TV étrangers, les voisins, notamment ont pris ce style de contre-offensive pour attaquer l'Algérie! Où sont donc les défenseurs pics fers de lance du défunt «parti unique? Oui, où sont - ils? C'était des dirigeants, en majuscules! Oui, voilà les vrais dirigeants. L'intégrité, la classe, le charisme viendront s'ajouter à la compétence, l'élégance, pour être en face d'un dirigeant en béton. Le bon dirigeant se sent à des km de là. Grâce à sa disponibilité, sa générosité et son dévouement, il est respecté par tous, pour tout cela. Vous le verrez les jours de matchs, souriant, optimiste et calme, loin de l'inutile excitation, qui ne mène nulle part. Les dirigeants du prestigieux club de la JS Kabylie ont de temps à autre été victimes de leurs plus proches collaborateurs, car choisis à la hâte, au moment de dresser la fameuse liste des candidats à la responsabilité. Il n'y a pas que la JSK, qui connaît cette fâcheuse situation. Référons-nous aux tables rondes des plateaux TV, où on écoute, bouche bée, les affreuses insinuations assassines des gus, qui sont venus ce soir-là, «opposants» prêts à dégainer, et tirer à vue pour descendre ces prétentieux aspirants aux succès. Les luttes pour la reconnaissance des
«locaux», de nos binationaux, du choix de l'homme providentiel, qui attend, derrière un rideau son heure pour «descendre» l'occupant du siège tant envié, toute cette «mascarade» pour un siège à fric, fait pour les corrompus et corrupteurs, même, qui ne font que passer, histoire d'affirmer que la bande ne s'en ira jamais, tant qu'il y a du pognon à ramasser à la pelle, svp! Nos sociétés nationales ont du mal à survivre: voilà qu'on leur gargarise des clubs «budgétivores». De l'argent est remis, en début de saison, documents à l'appui, en présence de pseudo-managers, donc des témoins, à de jeunes footballeurs ayant une paire de jambes en bois incapables d'effectuer le moindre contrôle d'un docile ballon. Ces mêmes authentiques tranchants documents seront plus tard remis à des institutions judiciaires étrangères, en cas de divorce entre les parties et feront pencher la balance du côté des «escrocs»! C'est tellement visible que les sincères dirigeants n'y voient que du feu.
L'exemplaire Amara
Les honnêtes responsables ne reconnaîtront leurs erreurs, qu'une fois, le «fer rougi» ne les brûle. Ces responsables paieront seuls les signatures... La bonne fois aura été vaincue, une fois de plus. Prenez le cas de l'exemplaire et émérite cadre national Amara Charaf-Eddine: c'est une honte que de vouloir du mal à ce personnage hors du commun. Pourtant, si le monde était vraiment monde, le seul charisme de ce charmant monsieur, joue en sa faveur. Une beauté sans pareil, un port «Allah ibarek» imposant, un regard clair, une image d'une personne qui n'inspire que de la confiance, tout pour passer l'image d'un homme responsable et respectable, et, normalement, qui devrait être impérativement respecté. Et comble d'éternel oubli, personne ne semble oublier qu'il est derrière, l'arrachage des 4 titres consécutifs du Chabab Riadhi de Belouizdad. Patron de «Madar», il est aussi patron, avec son staff, de tous ses succès. Il ne s'en porte que mieux. Alors, il est temps de rendre à Amara Charaf-Eddine, tout le bien et le bon qu'il a rendu au CRB, durant tout ce temps. Vous savez, ce brave homme originaire d'Ouenza (wilaya de Tébessa), ne peut qu'avoir du «fer», pas que du sang seul, dans ses veines. Approcher cette personnalité, est un espoir de tout homme qui se respecte. Perdu pour la FAF, peut-être bien, mais un acquis pour le «grand Chabab», c'est certain! C'est pourquoi, sincèrement, et du fond du coeur, cet espace s'incline respectueusement, comme devraient faire tous les hommes qui reconnaissent les qualités de cet agréable bonhomme, qui réunit à lui seul, le digne et excellent gestionnaire, le parfait diplomate, tout polyglotte qu'il est, le cadre idéal sportif, l'excellent père de famille, ne serait finalement, que justice rendue, même tardivement. Des «Amara Charaf-Eddine» ne se rencontrent pas, à chaque coin de rue...


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