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Les «mains sales»
Publié dans L'Expression le 28 - 08 - 2024

La «racaille» est bien passée par là! Toujours prête à instiller son poison dès la première occasion qui s'offre à elle. Autant dans les grands évènements qui marquent la vie d'une nation qu'à travers les petits conciliabules des coquins en perte de vitesse. Cette fois-ci, cette engeance, à la poursuite du buzz et des batailles youtubesques, s'accroche à la qualité et à l'ambiance qui prévalent dans la campagne électorale depuis que celle-ci a pris son départ il y a une dizaine de jours.
Elle veut «juger» chaque candidat et soupeser jusqu'au trébuchet les chances de chacun d'eux à changer le visage de l'Algérie. Pour cette catégorie d'«observateurs» à deux sous, rien n'a changé, rien ne change et rien ne changera. On le sait, cela s'appelle la méthode de répéter les mensonges pour mieux les installer en vérité!
Faut-il dès lors congédier la malchance pour assurer l'avenir du pays? Et pourtant, notre Algérie sous Tebboune a réalisé un vrai bond en avant que beaucoup de nations dans le monde nous envient.
Notre société a vécu sa métamorphose dans tous les domaines, en amorçant son «envol» depuis ces cinq dernières années avec un succès qui a surpris nombre de nos partenaires dans le monde. Pour déduire en toute simplicité que nous représentons bel et bien ce que nous sommes aujourd'hui: une puissance régionale réelle et un pays émergent en devenir. Ce constat est régulièrement confirmé par des organismes internationaux de renom - dont certains relèvent directement de l'ONU - et ayant pour mission d'enquêter sur l'état de développement que connaissent les nations, tous domaines confondus: économie, éducation, santé, infrastructures, niveau et qualité de vie. On peut avancer maintenant que la transparence a fini par prévaloir et s'imposer d'elle-même grâce à cette vérité. On peut le dire et le clamer tout haut, l'Algérie a bien changé, et la force des statistiques est là pour l'attester!
Que reste-t-il encore à changer en Algérie?
Les hommes qui la gouvernent? La République algérienne a-t-elle une pénurie d'hommes d'Etat à ce point? Il n' y a pas d'alternative autre que celle qui exige de choisir des responsables à la hauteur des missions dont ils auront la charge. Nos ministres savent-ils qu'en latin «ministre» signifie serviteur?
Loin de ces thèses «conspirationnistes», il y a encore des problèmes, des sujets qui sont devenus radioactifs. N'est-il pas temps de les traiter avec toute la bienveillance que nos concitoyens attendent?
L'Algérie est bien sortie de l'abattement et de la stagnation d'il y a cinq ans lorsque nos voisins rêvaient de voir passer sous leur regard le cadavre d'un pays à l'état putréfié! À la faveur de cette campagne électorale s'est installée une inflation langagière dans des milieux traditionnellement réputés pour leur hostilité aux institutions de la République. Sous l'empire des mots charriant une haine inextinguible explose toute la cruauté contenue dans leurs discours. Que cherchent-ils? Que veulent-ils? Réveiller les vieilles cicatrices de l'Histoire? Du Hirak? Voilà la grande imposture sans compter cette frange qui pratique l'art du camouflage politique.
Nous ne sommes pas partisans pour installer une police de la pensée ou celle de l'autoflagellation quand bien même ce beau pays mériterait de ses enfants le minimum de leur devoir: le servir.
Les trois candidats à cette élection présidentielle mènent leur campagne dans un climat de sérénité absolu.
À les écouter, à les voir, on finit par ressentir un sentiment de réconfort que l'Algérie d'aujourd'hui se porte bien. En cinq ans de pouvoir, Tebboune a redonné confiance au pays. À voir les images des meetings de Constantine et d'Oran, de ces populations venues l'acclamer des villes et villages de ces régions, on sent que le personnage est adulé. Les «feux du pouvoir» ne l'ont pas ébloui. Dès son installation à El-Mouradia, il a fait comprendre à son peuple que les choses allaient changer, que gouverner n'est pas synonyme de tricher, que la fracture sociale se ressoudera d'elle-même et que les richesses nationales ne seront plus dilapidées. N'est-ce pas là le luxe suprême qu'un homme politique sérieux, un vrai homme d'Etat, s'engage à assurer à son peuple?
La «liste des envies», si l'on peut dire ainsi, des Algériens n'est pas un fantasme. Il en a fait état. Deux millions de logements à réaliser, une allocation chômage à réviser à la hausse, un pouvoir d'achat à augmenter, une économie en essor tous azimuts et un Etat de droit à consolider. Qui dit mieux? Il s'agit bien d'une vraie «liste des envies».
Durant tout l'exercice de son mandat, à l'inverse des dirigeants des pays de l'ancien tiers-monde, on n'a, en plus, à aucun moment, enregistré une dérive autoritaire de sa part.
Fini donc ce temps où l'on jouait l'avenir de l'Algérie à la «roulette russe»!


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