Ce grand rendez-vous économique aura lieu du 2 au 7 juin et regroupera 827 firmes étrangères. Qualifiée de principal rendez-vous économique du pays, la Foire internationale d'Alger (FIA) tiendra sa 43e édition, du 2 au 7 juin 2010, au Palais des expositions des Pins maritimes sous le signe: «Algérie: des opportunités d'investissements stratégiques». Il va sans dire que cette manifestation économique est un événement de haute importance pour les entreprises étrangères qui prospectent le marché algérien et y recherchent un partenariat et des relations d'affaires intéressantes et rentables. Cette édition qui «se tient juste après la grande crise financière qui a ébranlé le système capitaliste jusque dans ses fondements, permettra à nos principaux partenaires économiques et commerciaux de se rendre compte de la portée du marché algérien en Méditerranée, en Afrique et aux portes du Moyen-Orient», a déclaré le président-directeur général (P-DG) de la Foire, Rachid Gasmi, dans une lettre émise à la veille de cet événement, sur le site de la FIA. «La solidité des institutions nationales, la justesse de la politique économique suivie depuis maintenant plus de 10 ans, les réformes économiques qui commencent à porter leurs fruits sont autant d'atouts qui marquent de manière durable l'attractivité du marché algérien», a-t-il estimé dans son message. Il est certain que les grands chantiers lancés dans le cadre des plans de soutien à la relance économique (Psre) ont accru l'attractivité du marché algérien, de manière substantielle et la présence de plus de 827 firmes étrangères à cette édition de la FIA, en est le principal témoin, souligne Gasmi. On relèvera que sur les 827 firmes étrangères participantes, plus de 50% activent dans les secteurs mécaniques, sidérurgiques et métallurgiques, industries électriques et électroniques et industries pétrochimiques, industries diverses et de transformation..., 15% dans le secteur des services et 12% dans celui des TP. Ainsi, les quelque 400 entreprises nationales qui y prennent part ont donc un grand choix pour «identifier des mises en relation d'affaires, initier des partenariats et susciter des investissements complémentaires entre nationaux et étrangers, de nature à répondre aux objectifs de développement économique national», a encore précisé Gasmi.