El-Tarf Arrestation de six malfaiteurs Les services de police de la wilaya d'El-Tarf ont traité, au cours de la semaine écoulée, de nombreuses affaires liées à plusieurs crimes et délits. Ainsi, deux personnes ont été arrêtées et présentées devant le procureur de la République de Dréan pour coups et blessures volontaires et usage d'armes prohibées. Une autre personne a été présentée devant le procureur de la République pour consommation et détention de stupéfiants. D'autre part, les services de sécurité ont surpris deux personnes en train de voler des câbles électriques. Elles ont été écrouées sur décision du parquet. Les mêmes services ont mis hors d'état de nuire un individu qui aurait abusé d'une mineure au niveau de la localité d'El-Kala. Tahar B. Foresterie à Cirta Reboisement de 1 000 hectares Les services de la Conservation des forêts de la wilaya de Constantine ont enregistré 28 interventions relatives aux incendies, durant la saison estivale. Les feux de forêt ont ravagé plus de 700 hectares dont 388,5 hectares de broussailles et 218 arbres. Les causes de ces incendies sont dues aux facteurs humain et climatique. D'autre part, en marge de la célébration de la Journée nationale de l'arbre, une campagne de reboisement sera organisée, le 25 octobre prochain. Ainsi, pas moins de 1 000 hectares de forêts endommagées et d'autres espaces au niveau des secteurs urbains seront reboisés au courant de la saison 2008/2009. Akila B. Edifices publics à Oum El-Bouaghi Un hôpital et une école attendent leur réhabilitation à AIn BeIda Alors qu'ils demeurent en phase d'achèvement, les travaux de réalisation de l'hôpital “mère-enfant” Boumali de Aïn Beïda sont à l'arrêt, en raison, selon des sources concordantes, de fissures au niveau du bloc opératoire et dont l'expertise du CTC a connu des retards. Cette importante infrastructure pour la santé maternelle et infantile devrait, en principe, s'ouvrir en janvier pour atténuer les difficultés rencontrées lors des accouchements et le suivi de la santé du bébé. Par ailleurs, des fissures similaires affectant le mur extérieur de deux classes et une cantine scolaire de l'école primaire Loucif-M'barka de Aïn Beïda persistent depuis longtemps en l'absence d'une prise en charge. Cette situation, à risques pour les élèves et les passants en cas d'écroulement, est illustrée par l'écriteau “danger”, visible sur le mur en question. Ce mur de l'une des plus anciennes écoles de la ville, car datant de l'époque coloniale, fréquentée par de nombreux élèves devenus aujourd'hui des intellectuel et cadres, ne mérite-t-il pas une prise en charge pour garder intact l'aspect architectural de l'école faisant partie de l'histoire et de la mémoire collective de la ville de Aïn Beïda ? D'autant plus que l'Assemblée populaire de la wilaya, dans le souci de maintenir l'aspect architectural intact des édifices scolaires, a débloqué pas moins de 20 milliards de centimes, selon des sources concordantes. K Messaad Transport scolaire à Jijel Le calvaire au quotidien Comme il fallait s'y attendre avec chaque rentrée, le transport scolaire est en passe de devenir un sérieux casse-tête pour les élèves de plusieurs régions montagneuses, notamment les communes de Bordj Thar, Oued Asker et Chehna vivant un enclavement préjudiciable. En effet, les élèves des localités de Tessebline et d'Achematou, relevant de la commune de Djemaâ Beni Hebibi et de Bouehmed, Boumidoune et Kaâ Zane sont contraints soit de parcourir quotidiennement des kilomètres à pied ou de se rabattre sur les véhicules utilitaires des clandestins pour rejoindre les bancs de leurs établissements. Un vrai parcours du combattant pour ces collégiens issus, essentiellement, des couches démunies. Face à cette situation qui perdure, des parents élèves originaires des ces communes, avec lesquels nous nous sommes entretenu, n'ont pas manqué de nous exprimer leur désarroi quant à la situation de leurs progénitures. Notons, enfin, que la wilaya de Jijel a bénéficié de 87 bus destinés au transport scolaire acquis dans le cadre des opérations de la solidarité nationale et dont une douzaine sont pris en charge financièrement sur le budget de wilaya avec un taux de couverture de 68%. B. Ines