DJELFA Un bébé abandonné retrouvé à Messaâd Un nouveau-né, âgé d'à peine quelques heures, a été placé dans un sac et abandonné au quartier El Chouâba au centre- ville de Messaâd, à 87 kilomètres au sud-est du chef-lieu de wilaya de Djelfa. Il a été découvert sain et sauf, tard dans la nuit de dimanche, par les éléments de la police judiciaire de daïra. Selon nos informations, ce n'est pas la première fois que des cas similaires sont signalés dans cette paisible localité. En effet, un bébé âgé de quelques mois seulement aurait été retrouvé dans les mêmes circonstances et mis en observation à l'hôpital de la ville. S. OUAHMED DES ECOLES SANS CHAUFFAGE À AIN OUSSERA Ce sont plusieurs écoles à Aïn Oussera et ailleurs dans la wilaya de Djelfa où les élèves souffrent du manque de chauffage dans les classes en cette période hivernale caractérisée par un grand froid, rarement connu ces dernières années. D'ailleurs, les enseignants de plusieurs écoles du moyen et du primaire, à l'instar de Ben Akcha, Ben Khaldoun et Guemoura, l'ont fait clairement savoir en observant un arrêt de travail de trois jours, pour protester contre ces conditions inhumaines de travail constituant une véritable menace pour la santé des élèves et leur scolarité. S. OUAHMED KHEMIS EL KHECHNA Les transporteurs de voyageurs boycottent le centre-ville Quatre-vingt transporteurs de voyageurs, assurant la déserte Khemis El-Khechna-Rouiba, ont pris la décision de boycotter le chef-lieu de daïra de Khemis El-Khechna. En effet, les transporteurs, qui dans un premier lieu ont menacé de débrayer, ont choisi cette démarche pour exprimer leur colère contre le mépris des pouvoirs publics quant à la détérioration de l'état de la route principale menant au centre-ville et à la gare routière. “Nous demandons une enquête des responsables, notamment les services des travaux publics. Qu'ils viennent voir cette mascarade que la route a subi. Une entreprise a décapé complètement le bitume qui était encore carrossable et a détérioré l'état de cette route et la gare routière est gorgée d'eau de pluies. Nous, les transporteurs de voyageurs, réfutons catégoriquement d'entrer au centre-ville tant que la gare routière et la route menant au centre-ville ne sont pas bitumées.” Nacer Zerrouki