Les journalistes et photographes de presse accrédités pour la couverture du Festival panafricain trouvent d'énormes difficultés à accomplir leur mission au Casif de Sidi-Fredj, en raison de l'attitude incompréhensible des agents de sécurité de l'établissement. Sous prétexte que les places se trouvant dans la partie basse du théâtre sont à chaque fois toutes prises, les représentants des organes de presse sont orientés vers la partie haute, là où les conditions pour un tel travail sont plus délicates en raison de l'éloignement de la scène et des artistes qui s'y produisent. Les chargés de la sécurité de l'établissement, avec leur excès de zèle habituel, semblent oublier qu'un journaliste et un photographe doivent bénéficier d'une liberté de mouvement pour pouvoir faire leur travail. Ce n'est pas un privilège.