Rectificatif Ghardaïa abritera une quinzaine culturelle Une malencontreuse coquille s'est glissée dans la page 11 de l'édition du mercredi 17 mars 2010, et concernant les préparatifs de la quinzaine culturelle que s'apprête à organiser la vallée du M'zab, sur les deux places mythiques que sont celle de la légendaire place du marché de Ghardaïa et celle de Metlili. En effet, il n'est nullement question de l'organisation d'une Fête internationale du tapis à Ghardaïa, laquelle et tel que précisé dans l'article se tiendra aux mêmes dates à Alger. Nos excuses à nos lecteurs et aux organisateurs. L. KACHEMAD El-affroun Une cité en détresse Le lot 112 et la cité des 32-Logements attendent une réelle remise en état des lieux, impraticables par temps de pluie, depuis la pose de buses pour le drainage des eaux pluviales. Dans une rue du lot 112, ce sont de véritables mares boueuses dans lesquelles les enfants pataugent et tombent souvent. À la cité des 32- Logements, les habitants ont pris l'habitude d'introduire les chaussures qu'ils portent dans des sacs en plastique au moment de sortir de leur bâtiment. Les jours de pluie, c'est avec des chaussures et bas de pantalons maculés de boue que les nombreux écoliers, collégiens et lycéens se rendent aux différents établissements scolaires (école Mahdaoui, CEM Lazhar, lycée Boudiaf) centralisés dans ces lieux. L'APC rassure les habitants touchés par ce problème, un calvaire enduré, l'hiver dernier, avec des véhicules embourbés et des glissements suivis de chutes d'enfants et de personnes âgées. Cependant, le projet d'aménagement de la cité des 32-Logements, prévu, tarde à se réaliser. F. Seman Tribunal de Bouira Deux Nigériens condamnés Le tribunal de Bouira a condamné dimanche deux ressortissants nigériens à deux années de prison avec sursis et leur extradition vers leur pays d'origine, et ce, pour immigration clandestine. Les mis en cause Osman et Mohamadou sont entrés illégalement sur le territoire national. Ils ont été arrêtés par les services de sécurité alors qu'ils adonnaient au commerce informel. Lors de l'audience, les deux mis en cause ont tenté de présenter des arguments au président en essayant de lui faire croire que leurs passeports ont été saisis et se trouvent entre les mains de la justice. Le procureur avait requis une année de prison ferme assortie de 5 000 DA d'amende chacun. A. DEBBACHE