Cette grande école délivre 250 mastères par année, 826 MBA jusqu'ici, et assure 10 000 heures de travail en direction des cadres des entreprises. Créée en 1996, MDI-Business School (Management Development International) est le premier établissement privé d'enseignement supérieur de gestion en Algérie. La présence de Mdi dans le top 5 des meilleures business schools au niveau du continent africain (classement Jeune Afrique hors série n°17 du 2008) étant considérée comme le premier pas… et classée première en 2009 parmi les titulaires des trois palmes de l'Ed-Universal, un catalogue annuel mondial des meilleures écoles de gestion et de management dans le monde, établi par les pairs, sur la base de critères rigoureux. Un premier pas seulement, Mdi ne comptant pas s'arrêter en si bon chemin. Mdi ne compte pas s'en tenir à sa notoriété, mais plutôt à renforcer ce qui a justement permis cette réputation, à savoir une politique soutenue de partenariat avec des business schools internationales et des universités parmi les plus prestigieuses, une proximité avec les entreprises à travers les rencontres du “Club Excellence Management” et le symposium international annuel et un dispositif académique rigoureux porté par une faculté d'enseignants utilisant des méthodes pédagogiques originales. “Avec les moyens pédagogiques conséquents, ce qui fait toute la différence”, insiste M. Brahim Benabdeslem, responsable de l'institut de formation. Dès son lancement, MDI-Business School s'est fixé pour mission d'apporter sa contribution à la formation des femmes et des hommes à haut potentiel, au développement de programmes novateurs face aux enjeux et défis de la mondialisation, et à la recherche appliquée dans les différentes disciplines du management. À cet effet, l'école a mis en place un dispositif d'écoute actif de l'environnement lui permettant d'adapter ses programmes aux besoins de ses clients et partenaires. En devenant membre de la Fondation européenne pour le développement du management (Europe Foundation for Management Development - EFMD), MDI Alger poursuit une politique de partenariat avec les business schools internationales et universités parmi les plus prestigieuses pour offrir des enseignements innovants dans les domaines du management et de la gestion du changement. Ce n'est pas le fait du hasard, c'est le choix de qualité que Mdi s'est imposé dès ses débuts en voulant délivrer des diplômes reconnus internationalement, délivrés sur des critères rigoureux, selon des méthodes et des enseignements, en qualité, en volume horaire, en diversité et en spécialité, vérifiés de multiples manières par le biais, entre autres d'une certification internationale régulièrement renouvelée par des organismes étrangers de certification, et par le truchement de partenariats internationaux reconnus mondialement. Créée en 1996 et dirigée par M. Brahim Benabdeslem, MDI est la première business school algérienne à offrir des formations diplômantes de type MBA destinées aux managers des entreprises algériennes. MDI-Alger offre aussi une large palette de formations exécutive de courte durée. Cette activité est certifiée ISO 9001 version 2000 et renforcée par un partenariat avec le groupe Cegos. MDI-Alger a rapidement acquis une forte notoriété auprès des entreprises et de la communauté des affaires, ce qui lui vaut d'organiser les plus importants évènements managériaux en Algérie : trophée du manager de l'année, symposium international d'El-Oued, rencontres du Club Excellence Management. Une politique déjà largement engagée par le lancement en 2007 du projet Emergence, qui vise la formation des cadres au sein de certaines entreprises. La mise en place du MBA International Paris, développé en partenariat avec l'Institut d'administration des entreprises (IAE) de Paris, (université Paris I Panthéon-Sorbonne) et l'université Paris-Dauphine, s'inscrit naturellement dans cette vision. Le MBA a pour objectif d'apporter une formation de haut niveau à des cadres en activité, en vue de les accompagner dans leur évolution au sein de l'entreprise. Le MBA (Master of Business Administration), diplôme prestigieux reconnu dans le monde entier, sanctionne une formation en management de haut niveau. À MDI, il est réservé aux cadres d'entreprise, ayant quelques années d'expérience. Sinon, MDI dispense des stages à l'issue desquels il délivre des mastères pour ceux sans expérience professionnelle. Fort de ses partenariats, actuels et en préparation, et de sa faculté de professeurs connaissant bien le contexte algérien, MDI-Alger veut s'affirmer comme l'un des pôles d'excellence du management en Méditerranée. Ce qu'il y a lieu de remarquer également, c'est que MDI ne travaille pas en vase clos, ou ex-nihilo. Autrement dit, l'institut ne fait pas dans la facilité en dispensant d'excellentes formations par ailleurs, mais sans aucune utilité pour les entreprises algériennes. Sa problématique s'est considérablement affinée au contact des entreprises algériennes, de leurs besoins et de leurs préoccupations. Ce qui avait nécessité la tenue d'un atelier de travail, ou workshop, en collaboration avec l'université de Nice, axé justement sur l'enseignement de la gestion dans un pays en transition. De très intéressants constats en ont été tirés d'où il ressort particulièrement que l'enseignement de la gestion a besoin d'écouter plus attentivement les entreprises, en premier lieu pour comprendre, en Algérie particulièrement, “le contexte de rente, les gouvernances technocratiques publiques, la culture du secret hostile au principe de transparence, l'étatisme socialiste persistant, les résistances au changement ou encore les syndromes de la décision de gestion en entreprises publiques (ou privées parfois) qui contrastent malheureusement avec l'émergence d'un entrepreneuriat privé dynamique, mais fragmenté et contrarié. Ce contexte si particulier, ce système si spécifique aux économies en transition fondées sur des ressources naturelles abondantes (mais pas renouvelables) demande un minimum de réflexion commune entre des acteurs de terrain et des enseignants chercheurs pour (re)penser nos outils. C'est à cette condition seule de compréhension, d'écoute mutuelle entre décideurs, managers et enseignants-chercheurs que nous construirons des enseignements capables de transformer nos connaissances en compétences, et que nous passerons d'une économie fondée sur la captation de la rente à la création de richesses vives s'appuyant sur celle-ci tout en la consolidant”, lit-on parmi les conclusions du workshop. Au cours de ce workshop, M. Brahim Benabdeslem s'est carrément proposé la tenue de véritables états généraux de l'enseignement de gestion en Algérie. Outre les partenariats signés ou en cours de signature et en instance de mise en œuvre, MDI prépare, pour les 30-31 mai, un symposium, le 9e du genre, sur les pratiques entrepreneuriales et leurs enjeux pour l'innovation et la croissance économique en Algérie, son objectif étant de susciter une réflexion autour de cet acteur et de ses activités particulières et de s'intéresser aux caractéristiques économiques et environnementales qui peuvent avoir une influence sur le processus d'entrepreneuriat.